En 1986, une voiture et deux valises, l'A7 direction Paris. J'ai roulé sur la passerelle, surplombant le Port sans regrets, mais sans imaginer qu'un livre se refermait. Ainsi vont les grandes décisions. Elles se prennent sans en avoir l'air. De temps en temps, au fil des années, un aller-retour pour visiter mes parents. Mes amitiés marseillaises avaient pour la plupart émigré direction "Le Nord". Ou bien étaient portées disparues entre Cassis et Vars, leur champ des possibles paraissant à l'époque singulièrement étroit.
Puis j'ai senti de loin la ville s'enfoncer, s'exclure toujours plus, le début des années 90 me semblant être le moment où elle a bien dû toucher un fond insoupçonné pour elle, multimillénaire... Marseille.
... Je l'affirme bien fort du haut de mon expérience d'utilisatrice de TOUT ce qui est sorti sur le marché des soins de beauté et cosmétiques depuis.... des lustres, ayant même eu une copine rédac' chef chez "Cosmetic News" qui me fournissait en bonne came. "Plus c'était cher, plus c'était bien" : des trucs pour les yeux, l'ovale du visage, le cou, le grain de peau, le ventre, les fesses. C'était bon pour le moral sans doute, moins cool pour le porte-monnaie.
Et puis, je me suis souvenue de mes années de fac et à Londres et des marques qui m'ont aidée à garder un teint de bébé joufflu dans des environnement très pollués, au sein d'été torrides et d'hiver rigoureux : The Body Shop, d'Anita Roddick (ayant fréquenté sa toute première boutique près d'Islington !) et Yves Rocher. Today, je décerne mon "Chapeau toto sustainable !" à YR et à son personnel, notamment l'équipe du 24 avenue des Ternes, à Paris. Mon panier (crême hydratante, shampoing, après-shampoing, démaquillant, crayon lèvres + fond de teint 'en cadeau') a bien dû me coûter un peu plus de 20 € ! Avec d'excellents conseils de la ravissante vendeuse sur la crème SérumVégétalà base de gomme d'acacia, nourrissante et légère pour toutes les peaux sensibles et déshydratées. La jeune femme à la caisse gère avec humour une queue de clientes en folie devant les prix, les cadeaux, les super nouveautés. Bref, on est bien reçue, tout le monde papote et chacune repart lestée de produits de qualité (non testé sur les petites bêtes), mais pas amputée de son salaire du mois. > Consulter également le site de la Fondation Yves Rocher ICI. > Et puis tous les bouquins d'Anita Roddick ICI, tant qu'on y est.
Une déclaration de paix à la guerre, toutes les guerres. Voici une histoire sans héros, celle des hommes, des frêres terriens qui résistent, se battent, souffrent, aiment, pleurent, écrivent à leur femme, disent adieu à la vie, et meurent dans la boue. Comme toujours.
La bataille d'Iwo Jima par le plus grand cinéaste classique de notre temps, Clint Eastwood : Lettres d'Iwo Jima, côté japonais, déjà évoquées ici, second volet de la Saga qui avait commencé avec "Mémoires de nos Pères".
Les Américains avaient prévu de conquérir cet îlot volcanique en 5 jours, il leur en fallu 45 pour venir à bout de 22 000 japonais déterminés à défendre la nation et l'Empereur jusqu'au dernier souffle. Seul un millier de survivants seront faits prisonniers...
Cette bataille est restée dans l'histoire car l'une de ses conséquences sera la prise de décision de la solution finale -bombardements atomiques sur Hiroshima et Nagasaki- pour en finir avec une nation à la détermination millénaire.
ps : prévoir mouchoirs en quantité sinon sniffsniff pendant deux heures dans l'écharpe du copain...
En train ! Ni fleurs ni mouchoirs... on ne sait jamais ce qui peut tomber d'un mouchoir qu'on agite;) Toute la semaine les posts vont s'auto-générer. Comme les Terminators SkyNet ! donc... même durant les vacances, la planète continue >>> à demain
Pour les sympathisants de la mer et des océans et les amateurs de belles prises photographiques, voici un bon plan :Nautilus, le magazine, par un passionné des voyages, Christophe Agnus, qui rentre juste du Spiztberg aux dernières nouvelles.... et une tranche de rêve tous les lundis matins dans votre BAL, si vous le souhaitez....
Longeons Le Cap Horn, vu par Bernard Stamm (cliquer ICI pour visions de course !) actuellement en tête de la Velux 5 Oceans.
Christophe Agnus, rédac' chef de Nautilus, est ancien reporter à L'Express (1988-1998), fondateur du magazine Transfert et du site Transfert.net.
Vue chez Mimie la danseuse & soigneusement recopiée ici / ceux-celles qui s'y reconnaissent doivent faire passer (lire les règles dans la suite de note)...
Nous tous, en attente d'accession à quelque chose qui ressemble à un logement où nous vivrons heureux, revendiquons : (1) un logement spacieux et à haute concentration en vitamine D, c'est-à-dire lumière solaire :) (2) un logement vert, à savoir construit avec des matériaux conjugant qualité durable, esthétique, agréables à vivre, peu impactant pour l'environnement et notre santé, et bon marché !
Les matériaux en série pour l'éco-construction sont entrés dans les moeurs, de la Scandinavie jusqu'au Portugal. Evidemment, en France, marioles que nous sommes (merci aux lobbies du BTP et de la distribution), on en est encore à balbutier, déplorent les organisateurs du Salon ECOBATIR, qui vient de se terminer à Lyon.
Donc, plus d'utopie ici. Là encore, la volonté politique s'impose. Avec un ensemble de réglementations adaptées à nos moyens, besoins et désirs ("désirs d'avenir" non ?). Si cela ne tenait qu'à moi, j'aurais déjà construit mon logement moi-même (ceci s'appelle l'auto-construction, et je ne suis pas manchote) et dans les règles de l'éco-art depuis 5 ans. Mais, vivant en ville, je suis encore tenue à en passer par les fourches caudines d'un promoteur, en l'occurrence peu fiable(euphémisme), pour tenter d'acquérir à prix d'or un truc bétonné. Combien sommes-nous dans le même cas ?
Anglais (Beddington) et Allemands (Fribourg) ont réalisé des quartiers entiers, innovants et exemplaires. Concernant les Anglais, penchons-nous sur le programme BedZed, acronyme du titre de ce billet : "Eco Village" et "Site Pionnier" dont je déplore quand même qu'il ait fallu aux heureux habitants débourser 20% de plus qu'un logement "stupidement normal", d'autant que le programme a été construit avec des matérieux de récup' sur une ancienne friche industrielle !
Et voilà, je pars mardi soir pour rejoindre les golfes clairs du côté de Marseille. Voyageant exclusivement sur IDTGVqui permet d'accéder à une première classe pour le prix d'une seconde, c'est de la balle !
Mais ce n'est pas tout. On peut, si on souhaite décoller le nez de son bouquin favori, occuper ses 3 heures Paris-Marseille en rencontrant son futur boss, sa future meilleure amie, son futur mari pour celles qui cherchent encore, ou toutes autres types de "encounters" selon le nombre de vies parallèles que l'on souhaite mener et de bouquins que l'on souhaite écrire !
Je me suis bien entendu inscrite, non pas à la recherche d'un mari, mais d'une expérience sociale afin de voir à quoi peut bien ressembler une rencontre ferroviaire...
Cela fait une semaine que je rumine dans mon coin, depuis que Miss Maxime Sonnery de Fromental, Arielle à la scène, 53 ans bientôt 54, a mis à la une de Match ses poires. Mon lecteur assidu et déprimé de lundi soir, coalisé à l'homme de mes nuits m'ont dissuadée de me livrer à un exercice de nu artistique et bourgeois en ce lieu, effeuillant l'album de mes diverses personnalités... C'est bien dommage car à l'âge de toutes les transgressions et déraisons, n'est-ce pas Sharon ? (Arielle étant nettement notre grande soeur), il aurait été amusant de démontrer par O + O que la gravitation terrestre n'a aucune prise sur nous, même si la gravité hante nos esprits et diverses flexions mentales.
Donc, en lieu et place de fruits censurés par des forces contraires, vous aurez, tristes cueilleurs pour l'heure, droit à cette diversion....
Hannibal Lecter Junior sort sur nos écrans... Pour les amateurs de suspense tout aussi scotchant, j'ai rencontré Art Nécro, quatre personnages jetés une comédie meurtrière où plus la pièce est noire, meilleur est le spectacle...
Art = comme au cinéma, univers des égos démesurés, hé hé.... Nécro = cadavres dans les placards
Quatre solitudes = Elise, l'attachée de presse, plus vraie que vraie (est-ce encore possible ? oui !) / Rocco, l'acteur raté, déjà fini avant d'avoir commencé / Agathe, la ténébreuse, clou du spectacle / et enfin l'amoureuse Marion, fleur bleue version Harlequin qui veut 4 enfants avant 30 ans et 30 ans, c'est demain !
Une pièce sans héros qui tourne en dérision le monde artistique contemporain et questionne l'existence, en trois actes névralgiques, le premier léger... le deuxième et le troisième, de plus en plus angoissants.... "Beaucoup de cadavres, mais pas d’inspecteur. Ce n’est pas la recherche du criminel qui intéresse, mais la raison pour laquelle il tue." (critique de Danielle Dumas)
Art Nécro, c'est l'histoire imaginée, montée, portée et interprétée par Catherine Morela, qui aidée par Hélène Lamblin, en assure la promotion par l'intermédiaire de son blog. Et nous entraine dans les coulisses, au sein de la vraie vie de la pièce.
OBJET : Emission France 3 : “Pièces à Conviction - Erika, mystères autour d’une cargaison” Si vous n’avez pas vu en direct l’émission de France 3 diffusée le Vendredi 26 janvier à 23h25, la version en ligne est encore accessible sur Internet : sur Google vidéo, ou France3.
Un sel d’ammonium quaternaire -additif synthétique révélateur du caractère frauduleux de la cargaison de l’Erika- a donc bel et bien été découvert par notre laboratoire dans les rejets côtiers de l’Erika, puis retrouvé dans la cargaison du Mélide. Contrairement à ce que déclare Robert Rosset au cours de l’émission, cette molécule a été formellement identifié par spectrométrie de masse, et nos preuves sont accessibles -depuis le Mercredi 23 Avril 2002 à 23h40- sur le site de notre Laboratoire. La présence de cette molécule dans la cargaison de l’Erika n’a -en réalité- jamais été contredite que par les résultats d’une étude conduite par le Laboratoire de Recherches TOTAL de Harfleur !
Une semaine de Saint Valentin sans plaisirs n'est plus une semaine de Saint Valentin. "Aimez-vous de toutes les manières possibles, mais n'oubliez pas votre chapeau de pluie." Signé : Docteurs Strip&Tripette, experts en conseils rapides
Il y a des idées qui sont comme des attentats et l'idée de l'amour est de celles-là...
Une passion amoureuse Couleurs de bleus, une tueuse Mais qui n'a jamais connu la passion N'a donné à sa vie ni rime ni raison
Et puis mille amourettes Toutes parfum d'oubliettes Des rires, du vin et du désirs Pour toujours ? ou plutôt au plaisir !
Vinrent les froides années de fer Avec toujours ce goût amer Je ne t'aime pas, je ne m'aime pas Huit hivers et puis s'en va
Et là, début de siècle, un soir d'avril Toi, que j'ai attendu, suspendu à un fil Et tout soudain emportée par ta voix Je me suis à jamais abandonnée à toi
L'un de mes lecteurs assidus s'étant plaint amérement que les sujets trop graves traités ici le lundi lui canardent le moral pour le restant de la semaine... on va donc faire dans le léger, le frivole et le rigolo, d'autant que demain c'est la Saint Val' !
Et qu'il s'agit de songer aux petits cadeaux qui entretiennent les amitiés irrespectueuses et les amours heureuses ;)
Je vous présente les peaux qui vont habiller le "vieil ordi poussif relooké si beau" que sa cote sur e-Bay va exploser, ou bien le cell tout gris, tout triste qui dort au fond du sac.
Bref, tout ce qui fait la gueule à la maison y compris mon lecteur au moral en berne peut être vinylé vite fait, bien fait. Ca fera des vacances à son adorable épouse : "Amour" en costume coquelicot ou papillon :)
C'est que qu'on appelle la tendance "SKIN" : quand on en a assez, on mue, on change. Après avoir collé des trucs amusants partout sur les murs (ça a commencé avec l'arbre par Matali Crasset pour Habitat, et ça continue ici), les designers proposent aujourd'hui de coller un peu de poésie sur des produits High Tech.
Le matériau est du Vinyle Coverium 3M, siouplai, une vraie seconde peau, douce à toucher mais qui dure, dure et dure encore.... On peut personnaliser avec ses propres photos : bébé souriant tout beau, toutou bondissant comme un yoyo, la tête du chéri d'amour qu'il est craquant, les dernières vacances au bord de l'eau, une gentille baleine pour se souvenir que la planète est en danger... En savoir plus ?Hop, courez vite chezSkeenz.com
L'actualité avec une présidentiable bardée de quatre enfants et la sortie de "Qui gardera les enfants ?", par l'historienne et féministe icônoclaste Yvonne Kniebiehler m'incite à ouvrir la question duféminisme et de la maternité.
Selon l'historienne, les militantes féministes ont fait fausse route en décidant d'ignorer la maternité, plutôt que de la défendre. Ce qui a eu pour effet de culpabiliser des générations de femmes depuis les années 60 et d'entretenir une ambiguité malsaine sur le rôle que les femmes peuvent tenir dans la société: "plus femme que maman, plus force de travail que maman, la femme doit être tout plus que maman".
Il est vrai que les féministes avaient de quoi se méfier : le ventre des femmes n'ayant jamais eu grand chose à attendre des idéologies. Les besoins de grandeurs nationales des états totalitaires, dictatoriaux ou libéraux ayant fait basculer depuis le XIXème siècle la maternité dans le domaine public. Au service de l'église, de la patrie et de la famille dans l'Occident libéral et populationniste. Au coeur des priorités du national socialisme nazi avec les "3 K" (Kinder, Kirche, Küche : enfants, église, cuisine)réduisant la femme à sa fonction reproductrice de la race supérieure. Corvéable à merci car pivot de la "famille socialiste forte et unie" dans le modèle soviétique.
De fait, les grandes figures du féminisme, telle Simone de Beauvoir (entretien avec P. Viansson-Ponté ici), ont longtemps défini la maternité comme un obstacle à la vocation humaine de transcendance. En d'autres termes, "la femme ne peut consentir à donner la vie que si la vie a un sens ; elle ne saurait être mère sans essayer de jouer un rôle dans la vie économique, politique, sociale".
Mais justement, au sein des combats des militantes sur la sexualité, la maîtrise de la fécondité, le pouvoir et le travail, la maternité aurait dû devenir un enjeu central de l'identité fémininecar elle est avant tout une fonction sociale. Et non un fait social se traduisant surtout par de lourdes inégalités au foyer et au travail, entre les sexes ET entre les femmes. La véritable libération de la femme passe par la défense et la valorisation de la réalité maternelle.
En pleine vague Tintin-esque et suite au come-back de Pif le chien, il est temps de donner le micro au Chat du Rabbin, dont le cinquième opus griffé Joann Sfar vient de paraître : Jérusalem d'Afrique.
Joann Sfar prolifique trentenaire, tour à tour scénariste de BD et dessinateur, aborde la philosophie et la religion, en utilisant comme candide éclairé un animal dit "domestique" et doté de parole.
Avec le Chat du RabbinetSocrate demi-chien, tous deux nés en 2002, Joann Sfar nous entraîne dans sa recherche des sources intellectuelles de la civilisation occidentale : le versant grec incarné par un chien, le côté juif est joué par un chat. Tout les sépare : "un chien, c'est solaire, univoque, moraliste, masculin, merdique" dit notre chat séfarade, qui se voit, lui, "nocturne, imprévisible et profondément éthique" ;)
Aujourd'hui, Strip&Tripette sont au Tir aux Pigeons et Camaïeuse la blogueuse (qui a soufflé ses 35 bougies hier !) a pris la place encore toute chaude... avec quelques scénarii "rappellant quelque chose" aux créatures polymorphes, flexibles, évolutives et modulables en quête du Graal des temps modernes = un JOB !
J'ai rencontré ces deux super filles, Lene Frantzen et Eva Helene Rasmussen, à Maison & Objets en septembre 2006 et suis tombée en arrêt devant leur réinterprétation de la "galette de chaise" !
Vous savez ce truc immonde et taratata que l'on est bien obligé de laisser trainer sur les sièges durs ou paillés : - pour éviter les ecchymoses au popotin, notamment en cas d'écraso-pincement de la peau par l'os pointu du périnée (9/10 sur l'échelle de douleur des derrière osseux) ; - ou les incarcérations dans le cadre de l'assise en cas de traversée violente et inattendue du paillage....
Chacun sa misère, mais on peut enfin la vivre en beauté grâce à ces petites merveilles réalisées au Danemark, par des artisans, en feutre de laine (très ancienne tradition des pays nordiques). J'adore ce produit, simple et évident, naturel, solide (lavable à la main), chouette comme tout, super moëlleux. Et ne pense pas être la seule à chercher un "confort de chaise" enfin montrable...
Coussins et galettes sont prévus en arrivage pour tout bientôt chez Kiosk, dans le 4ème à Paris, ou bien en contactant les ZigZign directement ICI.
Ca y est, l'alerte sur le réchauffement climatique lancé par les scientifiques du GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernementaux sur l'Evolution du Climat) résonne à présent, telle la clochette du Prophète de Malheur dans toutes les sphères politiques, entrepreneuriales, et jusqu'au "cercle de famille". Désormais, plus personne, individu ou entreprise, ne peut dire qu'il s'en fout.. mais il y a encore loin de la parole aux actes.
Car si les sacs plastiques des supermarchés sont progressivement remplacés par des sacs consignés ou sacs bio-dégradables (à base d'amidon de maïs entre autres), la grande distribution se fait bien tirer l'oreille pour agir. Alors qu'elle est en première ligne et aurait pu influencer, depuis longtemps, ses fournisseurs en matière de packaging, de recyclage et de récupération des bouteilles en verre et en plastique, de matériaux utilisés pour les gondoles, les chariots et les paniers.
Pas plus tard que l'an dernier, j'en parlais avec l'un des pères fondateurs de la grande distrib' en évoquant toutes les possibilités en terme de récupérations, d'économies, d'exemplarité et d'accompagnement des consommateurs. Et par conséquent, de gains de sympathie en matière de communication et d'image. Etre pionnier dans la protection des générations futures vaut bien toutes les campagnes de pub du monde ! Mais il m'a répondu "Bah... nous avons d'autres préoccupations à régler vis-à-vis de la concurrence et de toutes façons, la Terre s'en sortira bien toute seule".
Toute seule, sans aucun doute. Mais avec nous à bord, ce serait mieux...
"La création et non l'évolution des espèces est un fait", déclare Harun Yahya, auteur de l'"Atlas de la Création" qui réfute en 770 pages le darwinisme et la théorie de l'évolution. L'affaire fait grand bruit depuis une semaine dans tous les rectorats de France : des dizaines de milliers d'exemplaires de ce luxueux ouvrage très documenté ont été envoyés nominativement à l'ensemble des lycées, collèges et universités de notre pays. Opération extrêmement coûteuse, financée par qui ?
Cette offensive coup de poing du créationnisme façon islamique ou néo-créationnisme musulman est "une nouvelle forme de créationnisme, bien plus insidieuse que celle, d'inspiration chrétienne, qui sévit en Amérique du Nord" déclare le biologiste Hervé Le Guyader( Faculté de Jussieu), qui vient de procéder à la demande de l'EN à une analyse approfondie de l'ouvrage. En effet, l'auteur ne prétend pas que le monde a été créé en sept jours, mais que la Terre a bel et bien 4,6 milliards d'années (son âge communément supposé réel), et s'appuie sur des démonstrations complexes et de nombreux fossiles pour démontrer que "les espèces n'ont jamais changé".
Pour en revenir à Harun Yahya (de son vrai nom Adnan Oktar, de nationalité turque), outre sa réfutation de l'évolution, il va plus loin en dénonçant "l'imposture des évolutionnistes... les liens occultes existant entre le darwinisme et les sanglantes théories telles que le fascisme et le communisme... les théories de Darwin (seule philosophie valorisant et encourageant le conflit) qui seraient la réelle source du terrorisme", avec photo représentant les attentats du 11 septembre 2001 à l'appui !
Cette actualité m'incite à faire un tour d'horizon des théories créationnistes actuellement en vigueur et enseignées dans de nombreuses écoles privées, notamment aux Etats-Unis...
Par Yves, planéto-reporter dans le 11ème arrondissement...
Angle des rues Oberkampf et Saint Maur. Un projet expérimental d’art dans la ville met à la disposition temporaire d'une association un espace, auparavant dévolu à la publicité, pour présenter diverses œuvres d’art urbain.
A l’origine du projet, l’association "M.U.R" (Modulable, Urbain et Réactif), présidée par l’artiste Jean Faucheur, a proposé d’utiliser le mur pignon de l’immeuble afin d’y exposer des peintures conçues pour ce support par les artistes adhérents de l’association. Il n’existe pas, actuellement, de dispositifs muraux municipaux destinés à recevoir des interventions artistiques de ce genre.
Les artistes de l’association, adeptes de l’art urbain, sont tout simplement des amoureux de la peinture qui ont souhaité communiquer leur passion aux riverains. Leur volonté exprimée est d’apporter "un art pour tous", qui allierait "surprise, ré-enchantement de l’espace urbain, proximité et art contemporain". Gérard Zlotykamien, qui a "ouvert le mur", peint des silhouettes qu’il appelle des "éphémères", évoquant les ombres humaines imprimées sur les murs après l’explosion d’Hiroshima. Ces graphismes peuplent Paris puis quelques villes de province et d’Europe (Leipzig, Johannesburg, Berlin…).
Témoignage que m'adresse Cécila, suite au billet "Les invisibles et la société : les invisibles dans l'entreprise ou le déni de reconnaissance." Quelques réflexions aigues et vécues sur la ressource humaine, les chefs de projet, l'ingénierie sociale, la brute industrielle, une entreprise qui part en sucettes et une conclusion en forme de serpent se mordant les c.... :
"Je ne suis pas manager, mais je subis le management. La prise de conscience des mécanismes du management me laisse perplexe... Dans quelle direction se dirige-t-on? La seule façon d'échapper à ce système est-il de l'adopter à son tour ? Dans ce cas, cela revient à accepter de faire ce que l'on nous suggère indirectement de faire... Bref, c'est très fort. Mais j'ai du mal à croire que le résultat de tout cela soit très bon...
... d'avoir des parents coco-boër, mais j'ai le bonheur d'avoir deux super potos > l'un qui dessine et en dit long avec son trait, Placide > l'autre qui parle comme Marcello dans la Dolce Vita, moins méché que le paparazzo, mais le courage et un charme certain en plus, Roberto Ferrario
Et puis, il y a aussi mon 'tit idole Mouloud, qui donne son avis sans qu'on le lui demande sur Canal, ce qui crée entre nous une grande communauté de pensées :)
Les 3 compères auraient bien voulu me traîner Avenue Vincent Auriol pour l'inauguration d'un buffet chips-coca chez Marie-Georges, mais comme disait l'autre, on ne peut pas être au four et au moulin. Car, au même moment, je buvais du champ' chez Roset en achetant un Soft-Machine du polymorphe Frédéric Ruyant "de bobo-nefois n'est pas coutume..."
Alors courir, le SM sur le dos, se faire une bonne suée chez la petite mère du peuple... spassiba, GI Joe !
Heureusement, ils sont pas manchots ni rancuniers mes potos, et m'ont transmis une jolie petite galerie.
Ci-dessous découvrez LA Soft Machine et les "visiteurs du soir..."
La Harley qui tombe à pic... Strip & Tripette encouragent la blog battle :)
Et Cath vous lâche un indice (merci Winston !) :"Le vrai génie réside dans l'aptitude à évaluer l'incertain, le hasardeux, les informations conflictuelles."
Comme annoncé par Emilie ICI, c'est ma pomme qui a emporté la première blog battle contre les preuses Elise et Emilie. Bravo encore à mes amies et compétitrices ! Il est de règle de remettre le titre en jeu, les couronnes étant lourdes à porter :) Marcus est donc le Challenger de Cathet la nouvelle blog battle commence dès aujourd'hui SUR CE RING !
Petit rappel des règles de la blog battle : chaque concurrent propose 5 mots à l'autre / les 10 mots mis en commun font l'objet d'une historiette racontée par l'un et par l'autre / vous votez ensuite pour celle qui vous agrée le plus les mirettes > vous pouvez voter jusqu'au mardi 6 février minuit pétantes !
Afin de corser le jeu et voter en toute équité, les concurrents ne seront pas désignés par leur nom, mais "Troubadour 1" et "Troubadour 2".
> Voici l'histoire de TROUBADOUR 1 : "Naufragé dans le Mojave"
L'homme à tête de diable fixe rageusement la boîte Facom répandue sur le sable à côté de sa vieille Harley Davidson. Et jure contre ce sagouin de garagiste, au top dans l'organigramme des voyous, qui a trafiqué sa boîte de vitesses, se promettant de lui modeler le portrait façon samovar défoncé dès son retour en ville. Il lance un coup de pied dans la poussière, puis s'y affale de tout son long, épuisé. Au-dessus de lui, la nuit suspendue, indifférente et silencieuse, allonge ses milliards d'étoiles. Le froid le saisit et il se met à songer à Pluton, caillou glacé aux confins de l'univers, aussi paumé que lui en ce moment. L'homme sait tout de cette planète : la bibliothèque de la prison n'étant pas riche en livres de cul, il a eu trois ans pour lire et relire les deux ouvrages scientifiques aux interminables prolégomènes qui trainaient sur l'étagère. Froid, et soif. Terriblement soif. Il se redresse, jette un oeil sur sa boussole de poignet et se met en marche vers l'est où il pense trouver des collines truffées d'anciennes habitations troglodytiques. Et peut-être aussi un point d'eau ? Marche, marche et marche encore. Rien, ni collines, ni eau. Du vent, de la poussière et la nuit qui n'en finit pas. Grelottant, l'homme se roule en boule au pied d'un rocher et s'endort. Il rêve qu'il nage dans un fleuve de bière, la bouche inutilement ouverte, toujours taraudé par la soif. Dans son délire, une fille aux yeux bridés le regarde en agitant la main, se retourne et s'en va, emportant à sa suite le fleuve ambré sur lequel s'éloigne une jonque chinoise. Trois jours plus tard, un bouseux et sa mûle tombent sur son cadavre desséché. Curieusement, quelques vestiges de mousse sont encore accrochés à sa bouche crevassée et tordue. > Voici l'histoire de TROUBADOUR 2 :"Vous les femmes…"
J’aime bien l’internet où ces femmes un peu chelous sur leur blogue vous emmènent. Elles racontent des histoires de leur vie, sans détours, sans prolégomènes. Elles vous causent aussi bien de l’Islam, de Pluton, de cuisine que d’amour, de gamins ou de sectes. Laissez-moi leur offrir ce petit slam en hommage à leurs textes. Leurs récits d’aventures sont soignés, captivants, poilants même et bien souvent épiques Comme l’histoire de cet amant égaré dans ce temple un peu troglodytique. Méfiance quand même, pacifiques elles le sont, mais pas autant que la jonque chinoise. Moi je passe seulement, je profite, je commente, sans leur chercher des noises. Je clique sur un lien, ça tombe bien j’en cherchais un, il est joli ce samovar. Ikéa ? non mais des fois, ça ressemble à quoi ? c’est Barnum ou Kaboul, son grand bazar. Il y a celle qui évoque cette herbe à guérir les chameaux, qui paraît-il aide aussi à guérir d’autres maux. Ma boussole s’affole, est-elle femme ou bien diable ? Si je le savais, je ne le dirais pas, même à demi-mots. Ecoute-la qui ronchonne, surtout avec Typepad, quand son blogue déconne. Ne la ramène pas trop avec ta boîte Facom, des trucs et astuces, elles en savent des tonnes. Ces filles de cœur de lettres et d’esprit ne craignent plus personne. Elles n’ont pas besoin pour cela d’enfourcher une Harley Davidson. J’aime bien l’internet où ces femmes un peu chelous vous emmènent sur leur blogue. J’aime trop ça c’est vrai, mais ça craint désormais, car c’est devenu ma drogue. Je vais revoir dare-dare l’organigramme de mes priorités. Car ces moments avec elles, par ma femme, sont maintenant minutés. Et maintenant, à vous de voter !
Samedi 27 janvier, en compagnie de Thierry d'EcoAct, je me suis propulsée sous les ors de l'Assemblée Nationale afin d'assister à une conférence débat organisée par l'Ami Public ayant pour thème l'Economie Verte.
Pour info, d'autres débats vont suivre, dans le cadre d'un grand chantier intitulé Environnement et diversification énergétique, afin de remettre en mains propres, aux politiques, l'ensemble des conclusions, dès juillet 2007.
Beaucoup de contacts utiles avec les membres de l'auditoire, experts dans de nombreux domaines touchant aux énergies, au recyclage, au développement de nouvelles entreprises mais aussi aux freins et au manque de volonté politique dans notre pays...
Entendues quelques perlouzes bien de chez nous : > Vous savez sans doute qu'en France, on bénéficie d'aides fiscales afin d'améliorer l'éco-efficacité de son logement (chauffage propre, isolation, double vitrages, etc...). Du coup, les équipementiers en profitent pour augmenter d'autant leurs tarifs : "le gang des portes-fenêtres" ! > On peut se construire une superbe maison en bois de 400 m2 habitables, en 6 mois clefs en main, et pour moins de 100 000 Euros. Mais aussitôt les "Bâtiments de France", qui n'y comprennent rien, s'abattent sur vous pour vous obliger à crépir votre façade en bois(et donc "pourrir" le matériau dans tous les sens du terme) afin de la faire ressembler à une maison Phénix... > Ce qui coûte cher dans le logement, c'est surtout le foncier. Or, des milliers de "jacouilles" ont obtenu de la SAFER des quantités d'hectares gratuites, à proximité de zones urbaines, qu'ils ont aujourd'hui la prétention de revendre à des prix astronomiques...
"les poissons ont aussi besoin de vacances" : affiche des supermarchés Migros en Suisse incitant les consommateurs à acheter les produits alimentaires "en saison"
Ceci est une histoire vraie... (ne ratez pas le sondage à la fin !) Il était une fois.... Eric McRae, un ingénieur quadra bien tourné, au sourire chaleureux, "ayant de la surface" et libre de tous liens matrimoniaux après un divorce. Au terme de deux ans de réflexion et de veuve poignet, il se met à la recherche d'un nouveau cercle d'amis, avec l'espoir secret de rencontrer, en route, une tendre moitié : "femme intelligente ayant le sens de l'humour, équipée de chaussures de marche, d'un sac à dos et dotée d'une loupe...". Véridique.... On ne rit pas... merci !
Tout d'abord, notre ami traîne dans les bars, exhibant ostensiblement des revues scientifiques, histoire d'attirer l'âme soeur.... Chuttt ! ceux qui ne peuvent se retenir, sortez... merci. Après quelques expériences malheureuses, le bel Eric finit par s'inscrire sur un site de rencontres destiné à des "comme lui".... Science Connection
Elue parmi les personnalités de l'année 2005 de Time Magazine, cette Jordanienne de 47 ans enquête depuis plus de 20 ans, pour le compte d'Amnesty International, puis Human Right Watch, sur les horreurs commise par le régime de Saddam Hussein (Chiites, Kurdes, opposants Sunnites), dans le plus grand secret et souvent au risque de sa vie.
Hania Mufti est née à Amman, en Jordanie. Après avoir quitté ce pays, puis le Liban livré à la guerre civile, elle part à Londres terminer ses études où elle se fait embaucher par Amnesty International. Nous sommes en 1981, un an près l'offensive de Saddam contre l'Iran.
En 1984, Amnesty lui confie l'ensemble du dossier irakien, l'un des pays réputé comme l'un des "plus difficile" de la région. Le pire ? "Un cas à part", rectifie-t'elle. Rapidement, Hania découvre l'efficacité des services secret du Baas, très actifs en Europe et notamment à Londres, où elle réside. La prudence est de rigueur car il s'agit pour elle de protéger ses sources et ses contacts. "Les informations que nous récoltions étaient si dramatiques, le nombre d'exécutions si élevé et les techniques de torture tellement dures... que nous développions un sens particulier de la mesure. Ce qu'on nous rapportait paraissait à ce point incroyable que j'avais en permanence des doutes sur ma capacité à déceler le vrai du faux. Au final, nous n'écrivions dans nos documents publics qu'une infime partie de ce que nous entendions".
... ça commence dès le réveil, avec la ribambelle des tracas de ouatère, en d'autres mots, les TROOSMES
> le troosme assis = absence de papier, et son cousin ousse-troosme = le rouleau en carton a également disparu...
> le troosme agoudi = PQ qui se coupe trop court à chaque tirage "argh ! qui c'est qu'a encore acheté ce papier de m.... de mes c...."
> le troosme couffiarde = lunette soudainement fendue qui pince épouvantablement la fesse... dans le meilleur des cas !
> le pire du pire de tous les troosmes dans tout l'univers : le troosme vova ou chasse d'eau inopérante après la grosse commission quand on n'a pas dormi chez soi ... et qu'en plus, on nage en plein troosme beccari ou drame du ouatère sans verrou, dont la porte va s'ouvrir à tout instant car "du monde attend"...
Dans ces grands moments de solitude, tout passe à travers la cervelle, y compris les questions impossibles, telles que : wabol ? = "...et moi, qu'aurais-je fait durant l'Occupation ?"
Christine Murillo, Jean-Claude Leguay et Grégoire Oesterman ont patiemment compilé les malheurs archétypaux dont nous sommes tous affligés, dans Le Baleinié ou dictionnaire des tracas (en deux tomes !), suggérant des néologismes basés sur un principe d'euphonie (saspigoule), voir de cacophonie (vruter). Le Baleinié n'a pas d'autre ambition que d'accompagner et consoler ceux qui ressentent l'exil de l'infortune... ! Comme moi ce matin, qui me suis méga abrataphiée = prise la manche du peignoir dans la poignée de la porte, mon bol de café brûlant à la main.... bol dans la gueule, manche arrachée et porte qui m'en file une autre !
Je ne vais pas en rester là, d'autant qu'avec le froid revenu, la grippe et les gastros, les pligoties vont bon train = recommandations aussi bienveillantes qu'inutiles du style "n'attrapez pas froid... ne tombez pas sur le verglas", ou si d'aventure vous cassez un verre "surtout ne vous coupez pas"... arrrgh
La foire aux "subisseries" aussi quotidiennes que monstrueuses est ouverte, lâchez-vous !!! (*) > racontez à votre tour en inventant why not le mot qui le fait bien :)
Tout est parti d'un mail de Christophe, "Et toi ?"... "et moi quoi ?" "Va donc voir sur mon blog" ... sondage "avez-vous testé Second Life ?" Encore ce machin ! La moutarde me monte. Autant les jeux de rôles peuvent être intéressants, autant Second Life me déplait pour toutes sortes de raison : aliénation, associalisation, autisme, fuite dans un monde peuplés de z'éros et de putes, pardon "escorts". Sans compter que l'image est moche comme tout. Môsieur Resse a rejoint avec humour quelques unes de mes pensées ici, puisque dans Second Life, on retrouve son banquier, Madame Royal, des manifs, Nike, sa bagnole et sa concierge.... nouvel espace de pub et de tests produitsin virtuo auprès de joueurs (sont-ce encore des joueurs) exploités ou exploitant cet "univers".
Mais passons sur les symptômes et attachons-nous plutôt au mal lui-même. L'idée même de Second Life et de tous les univers virtuels qui vont rapidement prendre sa relève (voir Grandeur et Décadence de Second Life), ne pouvait germer que dans un cerveau baignant dans un environnement puritain. Je m'explique...
Le match : caser les 15 mots suivants dans une histoire, dont la meilleure des trois sera déclarée vainqueuse! Amibe / Homme du monde / Samarcande / Pensionnat / Butagaz / Figuriste érythréen / Looch / Margaux / Nec plus ultra / Deutérocanonique / Bernard Minet / Ablation / Gribouillage / Nights in White Satin / Abécédaire
On prend d'ores et déjà les paris : Elise Vs. Emilie Vs. Cath ? Venez nombreux - amenez les copains - c'est gratuit et il y aura du coca et des merguez !
Pour découvrir les 3 histoires et voter pour votre favorite >>> rendez-vous de suite chez Emilie > ICI
"Rien n'est jamais sans conséquence. En conséquence, rien n'est jamais gratuit." (Confucius). Tout ce qui suit n'est rien, et de fait conséquent et prisé ...
"
Ethnocentrique", "xénophénale"(copyright Cath),la Quinzaine de la Tendance...
...Darkplanneur, de fil rouge en tête mystérieuse, me prie de vous convier à découvrir son cabinet de curiosités des tendances, jusqu'au 24 janvier >> "Back to Excentricity"
La curatrice du cabinet étant la sus-mentionnée Marian, "papesse des tendances et diseuse d'avenir", autrice de Next.Now, interviewée par l'équipe de Darkplanneur ICI. A découvrir également sur son propre blog, NEXT.NOW, l'oeil vissé sur l'horizon... Pour qui s'intéresse aux "à-venirs" : elle est plutôt balaize mais très facile à lire.
Ci-après, le menu de la Quinzaine (certaines scènes pouvant choquer, merci de tenir les z'enfants éloignés... )>>>
Parfois je m'interroge sur cette population dont notre beau pays est fécond : les experts en tout ! Experts en politique, en management, en économie, en média, en communication, en marketing (à vous de compléter et remplir "les blancs"...) : ces deux dernières catégories étant particulièrement croustillantes au vu des kilomètres de banalités et auto-congratulations allongés par des individus de tous âges réinventant la bonne vieille roue des Gaulois. Oyé qu'elle est ronde ma roue :)
Car en matière d'invention, d'expertise et de transmission des savoirs de tous poils, et bien ME MYSELF, auto-proclamée "experte en peut",DECLARE que peu de choses sont arrivées depuis les années PIF GADGET! :) Avec l'aide d'Hervé, "expert en insectes, animaux mous et diamants", nous allons vous le démontrer... >
Après les jeunes invisibles/Part I et les invisibles au boulot/Part 2... Voici les"Femmes Invisibles"...
L'invisibilité des femmes, affectant peu ou prou la moitié de la population de la Planète Terre (sur 201 terriens, il y a 100 femmes) est si vaste sujet, lourd de conséquences, que je vous propose de le traiter sous forme de "brèves" :
1- A force, à force.... demain, un monde sans femmes ?
Lire et relire...Le premier siècle après Béatrice, d'Amin Maalouf :
« Si demain les hommes et les femmes pouvaient, par un moyen simple, décider du sexe de leurs enfants, certains peuples ne choisiraient que des garçons. Ils cesseraient donc de se reproduire et, à terme, disparaîtraient. Aujourd’hui tare sociale, le culte du mâle deviendrait alors suicide collectif. On assisterait alors à l’autogénocide des populations misogynes ».
2- Demain ? c'est déjà aujourd'hui.... en Chine, en Inde, Asie du Sud-est et Centrale, pays arabes, etc....> "Vers le célibat forcé des prochaines générations", Isabelle Attané(juillet 2006) « Quel genre de femme je souhaite ?, s’étonne un jeune Chinois d’une trentaine d’années. Peu importe ! Il est tellement difficile de trouver une femme aujourd’hui. J’en veux une, c’est tout ! »
3- Et aujourd'hui, là-bas et chez nous, comment vont-elles nos "déjà invisibles" et future "espèce en voie de disparition" ?
L'homme dont les chaussettes trouées ont fait école dans les rangs des petits porteurs de l'action Vivendi Universal en 2002, mais où était-il passé ?
Célèbre pour sa stratégie du contenu et du contenant et pour ses mots d'esprit : "Le groupe va mieux que bien" lors de la perte record de 13,6 milliards d'Euros de son groupe, en mars 2002... notre J2M, promu J6M (Jean-Marie Messier, moi-même maître du monde), puis plus rien .... est réapparu récemment en J5M = «Jean-Marie Messier maître de moi-même»
Ce fils du pays des noix, pur produit du terroir français croisé Enarchie/X, spécialiste de l'ascenceur social et Lauréat du Prix de l'Académie de la Carpette Anglaise, est depuis 2005 Maître de la "Boutique Messiers Partners" où il dispense ses bons conseils à Lagardère, Pinault, Publicis (mon conseil : vendez ! :)
Ayant conservé "ungoût pour la convergence", J5M consacre également une partie de son temps à soutenir des start-up dans les TMT, ayant ainsi investi récemment dans un site spécialisé dans les micro-paiements :)
Métro Ligne 12 direction Mairie d'Issy, Florina, violoniste roumaine, réinvente le violon.
Elle a fait un solo du Printemps des Quatre Saisons comme jamais(et dieu sait si les Quatre Saisons sont une scie), après que lui ai demandée de couper la cassette accompagnant son instrument... Un instant suspendu ! Plusieurs personnes ont loupé leur rame, écoutant avec ravissement la délicatesse mélée de force de son interprétation.
Vite vite les dénicheurs de talents ! Que Florina, qui travaille gratuit à l'animation musicale de la RATP, trouve rapidement un engagement et une salle de concert à sa mesure ;)
Participez vous aussi et envoyez vos photos, histoires, rencontres afin de mettre en lumière et tisser un "Hall of Fame" à ces talentueux compositeurs, musiciens et chanteurs en sous-sol, de Paris et du Monde entier > en cliquant sur cette bannière dans la colonne droite de ce blog >>>
Une bonne adresse, juste en face de la Bourse, à Paris, France.
En 2007, dans notre beau pays, le "mal logement" a pris une ampleur sans précédent depuis les années d'après-guerre. 10 millions personnes mal logées ou sans logis, des prix et des loyers exorbitants accompagnés de chapelets de garanties abusives demandées par les bailleurs. Et des logements vétustes et indignes, des sous-locations clandestines, un surendettement galopant et des prêts sur 30 ans pour accéder à la sacro-sainte propriété ! Les familles qui font dormir les gosses dans le couloir faute
d'une pièce en plus ne se comptent plus.
Trois associations MACAQ, Droit au Logementet le Collectif Jeudi Noir, déjà évoqué ici, ont décidé de frapper un grand coup médiatique, ayant compris que les actions inscrites dans la durée et dans l'ombre ne paient décidément pas de nos jours...
C'est dans un bâtiment de 1000 m2, abandonné à la spéculation depuis 3 ans et donnant sur la Bourse que le Ministère de la Crise du Logement a été inauguré sous les confettis et les hourras d'une foule joyeuse et déterminée venue apporter son soutien.
Nous avons tous mené l'enquête ici, dans nos rues, auprès de nos contacts et c'est Yvesqui m'envoie ce gros indice sur cette satanée histoire de "tête" >>> "LA PIECE" (merci Edouard d'avoir transmis ce nouveau lien sympatoche !) A l'affiche du 12 janvier au 30 mars 2007, à La Nouvelle Eve 25, rue Fontaine, Paris 9ème. Le pitch : Le personnage énigmatique qui leur sert de mascotte représente une interrogation pour des milliers de français.La Pièce est interprétée par la Troupe Nationale d’Art Dramatique de France de Théâtre, cinq comédiens de très haut niveau sortis de nulle part. Subventionnée à hauteur de 0% par l’Etat, absolument pas produite par Dominique Farrugia, la Troupe dispose de moyens financiers considérables accrus par divers détournements d’aides sociales (RMI, aide au logement, aide aux personnes handicapées, etc.) L’ambition de la Troupe est très claire : créer une institution qui dans les 20 prochaines années remplace la Comédie Française afin d’utiliser les fonds publics pour aller dans des restaurants hors de prix avec des metteurs en scène chinois qui finissent leurs nuits dans des bars louches.
J'ai aussitôt mis en branle mon réseau ! Oui, elle avait bien été présentée en Off en Avignon> bravo à ceux ici qui l'avait suggéré : Jérôme de Tahiti, Matthieu d'Aix en Pce ... De ricochets en rumeurs,le mystérieux Inconnu9 m'a recontactée dans la nuit pour me confirmer que, selon lui, l'indice est bon mais uniquement le premier d'une longue série... Avec ça, j'étais bien avancée tiens ! Hop, un tour chez Darkplanneur et là, j'ai trouvé des infos qui confirmeraient les dires d'Inconnu9 ICI.
Bien contente d'avoir eu le nez creux dès ma première enquête perso en évoquant la récup' de La Tête par une "banque célèbre"....
Cath : Bonjour Emmanuelou plutôt dois-je t'appeler "Bouchon", je suis enchantée de t'accueillir sur la planète et donc, hummm, par où allons nous commencer ?
Bouchon : Etant très bavard, je ne sais déjà pas par où commencer...
C :(rires) Et bien, ça commence bien !
B : Bon, comme tu le sais, je suis sommelier. Cela fait onze ans maintenant que je fais ce métier. Au départ je voulais être chef de cuisine, mais je me suis très vite aperçu que cela ne m'intéressait pas vraiment. Et un jour j'ai pu discuter avec un sommelier, et là, je me suis dit que je voulais faire ça ! Echanger, partager, avoir cette culture du vin et donc de ce patrimoine typiquement français.
C :(yeux brillants d'émotion) Génial, de découvrir, si jeune, une telle passion dont on peut faire métier !
B : Pas vrai ? Donc, du jour au lendemain je me suis plongé dans les livres, je me suis mis à collectionner les étiquettes de vin, à fouiner dans les caves et me rendre dans les ventes aux enchères afin de mirer les très vieux flacons.
C :(rires) Les vieux flacons dans lesquels on découvre les meilleurs vins !
B : Parfois, oui. L'apprentissage fut difficile mais très enrichissant. A l'Hôtel Vernet,
la deuxième étoile Michelin est venu récompenser le travail de toute une
équipe de cuisine menée par Alain Solivérès (maintenant chez
Taillevent) et l'équipe de salle. C'était en 1996.
Cette année là, j'avais participé à mon premier concours, et ai terminé quatrième. C'était le Concours Chapoutierdu meilleur étudiant sommelier de France
96. J'avais passé toute la nuit précédente dans un bus de supporters
du PSG, de retour de la finale de la Coupe d'Europe gagnée, à Bruxelles
! Je dois te dire que j'étais complètement cassé ! (grand rire puis gros gros soupir)...
2007 : il serait plus que temps de de débattre de ces idées-là et sans langue de bois ou a priori corporatistes ou purement idéologiques...
1 - L'immigration, atout pour notre pays... ? et quelques réflexions générales sur l'ostracisme ou le serpent de mer de la diversité... 2 - Le boost de la natalité, une bonne chose ? les vieux, les jeunes, la solidarité inter-générationnelle, la France et le Monde 3 - En finir une bonne fois avec les 35 heures dans une société "égalitaire" qui protége les riches et appauvri les plus fragiles ? Et quid du "coup d'état" des marchés financiers ?
(ne soyez pas "perplexifiés" par la longueur de la note qui suit et surtout prenez votre temps !)
Les FabFour au Palais des Sports le 19 janvier, à partir de 20 h 30, vous connaissez ?on a en déjà parlé ici. Comme je suis du genre anxieux et prudent, j'ai déjà choppé au moins deux places pour VOUS ! Pour les gagner, et bien il suffit de répondre en "premier" et "juste" aux 3 questions ci-dessous :
1) En Angleterre, berceau des Beatles, quelle est la couverture de leur album qui, en 2006, est encore classée numéro UN par les fans ?
- Abbey Road ? - Sgt. Peppers Lonely Hearts Club Band ! - Magical Mystery Tour ?
2) Quel est le groupe français qui a interprété la version française de Yellow Submarine ? Les Compagnons de la Chanson / sous-marin vert
3) Comme vous le savez tous, John Lennon, désireux de créer un groupe, lance les Quarry Men au tout début du début mais pour quelle raison singulière a-t'il finit par accepter Paul McCartney dans son nouveau groupe ? Paul Mc Cartney jouait à la perfection les accords de guitare de Be-Bop-A-Lula, ce qui a fini par convaincre John Lennon....
question subsidiaire : quel label a lancé les Beatles en France ? Polydor
AYE ! FINI DE JOUER >>> le jeu a été brillamment remporté par Laurent Colombel clap clap ! Bravo à lui pour des réponses ci-dessus / pas du tout évidentes je le reconnais.
Number One : courez acheter Aqua TM de Jean-Marc Ligny, un superbe thriller-science fiction, qui se déroule en 2030 (mais pour moi, c'est déjà actuel....). Le pitch : En 2030, l'enjeu vital autour duquel se battent les peuples et les nations n'est plus le pétrole mais l'eau potable. Sécheresse et réchauffement climatique obligent. Aussi, quand un petit pays d'Afrique assoiffé découvre, grâce à une image satellite piratée, une nappe phréatique dans son sous-sol, c'est la survie assurée ! Assurée ? Pas évident : un grand consortium américain, à qui appartient le satellite, revendique la possession de cette nappe et ne recule devant rien pour l'obtenir.... Voir ici et ici.
Number Two : découvrez sans délai (clic!) le blog Lunettes Rouges, tout bonnement génialissime, consacré à l'Art, aux Artistes et aux expos avec des billets sacrément icônoclastes et bien vus !
Number Three : complément d'enquête sur la Tête.... !!!
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