Ta.. Da... !
Voici le coin de verdure de Marcus, au Rivedoux, sur l'Ile de Ré, pas plus tard que ce midi !!!!
< La vieille copine de Marcus, topless et
bottomless, au cagnard revenu... ;)
« juin 2007 | Accueil | août 2007 »
Ta.. Da... !
Voici le coin de verdure de Marcus, au Rivedoux, sur l'Ile de Ré, pas plus tard que ce midi !!!!
< La vieille copine de Marcus, topless et
bottomless, au cagnard revenu... ;)
Rédigé le 31 juillet 2007 dans Chapeau toto ! | Lien permanent | Commentaires (8) | TrackBack (0)
La conception d'un espace vert, avec son incroyable diversité de plantes peut être une entreprise intimidante, surtout pour qui aborde l'aménagement de son propre jardin. Trop souvent, le débutant installe ça et là des éléments disparates, où il reste de la place. Quant aux plantes, nous sommes nombreux à les acheter au hasard des coups de coeur, sans nous interroger sur la qualité de notre sol, l'orientation de notre carré de verdure, et la bonne intégration esthétique de la nouvelle venue au sein du jardin...
J'ai beau être petite-fille d'une sorcière verte, dont les haies et bordures en bois mort bourgeonnaient à chaque printemps (ce qui la mettait dans un état de rage indescriptible !) et avoir moi-même la main particulièrement heureuse avec les végétaux - je "sens" quand les plantes sont à leur place, quand elles vont bien, quand elles souffrent... allez savoir... - ... notre futur jardin m'occupe déjà l'esprit.
Et à l'instar des jardiniers pouvant enfin donner libre cours à leur créativité, après avoir été contraints à des plantes en pots sur terrasse ou balcon, je ne souhaite pas perdre la tête, faire de folies, souffrir et faire souffrir mes futurs amis végétaux !
Notre jardin en devenir est en pente douce, exposé à l'ouest avec un grand mur plein sud. La terre semble grasse et j'ai dénombré environ un milliard et demi de coccinelles, au corps allongé, que l'on appelle "gendarmes" dans le midi. Ce sont les coccinelles des résineux, non parasites, au contraire. Un bon début. Au fond, un grand laurier-sauce, puis, plus rien que des herbes folles et des orties. Je sais que je vais tâcher de conserver quelques pieds d'orties, excellentes contre les parasites.
Mais avant de commencer et afin de me calmer et réfléchir un peu, je vais d'abord peindre les murs d'enceinte qui sont bruts de ciment...
Et m'inspirer d'un très intéressant bouquin, niveau débutant, facile et bien foutu, qui conseille fort utilement néophytes et "ceux qui croient savoir" sur les différentes possibilités pour aménager au mieux et au plus beau un petit coin de verdure.
Du jardin suspendu, au jardin de senteurs, en passant par le jardin des quatre saisons, de bord de mer, de ville, ou en pots, tout y est : conseil de plantations avec croquis d'aménagement, plantes insolites et mal connues, plantes de caractère, très florifères et costaudes (histoire d'éviter les horribles tuyas, autres marguerites ou chétifs rosiers que l'on trouve partout !).
Et celles qui boivent, et celles qui sont frugales. Et celles qui poussent dans les coins d'ombre impossibles. Ou celles qui drainent le jardin....
Honnêtement, je ne suis pas une accro des bouquins de jardinage qui racontent tout et n'importe quoi, et surtout font faire beaucoup de bêtises, mais celui-ci est hautement recommandable. Pour une fois ! ;)
Résultats en ligne de "mon chez moi" ? Un peu de patience !!!!
Mais vous, qui avez la chance de jouir d'un jardin ou d'une belle terrasse depuis longtemps, quelles sont vos plus belles réalisations ? Vous me les envoyez, on met les photos en ligne et on fait un blog-concours de jardins. OK ???
Conception et Aménagement de Jardins, par Tim Newbury, chez Eyrolles
En photos : jardin de mes parents à Marseille, une jungle un peu sauvage d'ombres et de lumière, de senteurs d'orangers et d'acacias. Vieille fontaine, poissons rouges et rainettes. Idéal pour les chats du voisinage qui se blotissent dans les fourrés à la recherche de la fraîcheur, et pour la chienne qui fait mine de leur courir après.... !
Rédigé le 31 juillet 2007 dans Livres-Tribune, Oeuvres en gestation | Lien permanent | Commentaires (8) | TrackBack (0)
Il est de saison de donner une suite à ce baleinié yes.... ?
Mes frêres et mes soeurs, en ces temps de grande relâche mentale et physique, on va en remettre un coup histoire de dénicher de nouvelles appellations pour les petits trucs qui gratouillent ou abrasent dans la vie "c'est la vie"...
C'est parti avec la complicité des incontournables auteurs du dictionnaire des tracas, Christine, Jean-Claude et Grégoire....
CHOUIR = faire semblant de ne pas avoir reçu le postillon.
MENAIRBE = enfant hurleur des autres.
JACHE-BURRER = associer deux plaisirs qui s'annulent. Exemple : écouter l'adagio de la Cinquième de Mahler en dégustant un tourteau.
MIASLIQUER = s'assoir sur le chat.
DJAAR = écho de sa propre voix dans le portable.
CAVOTE = table qui reste définitivement bancale malgré les pliages successifs de dessous de verre.
JANGANDON (spéciale Marcus !!!) = ville qui reste inaudible dans le haut-parleur du TER désert...
JUBITIR = sortir souriante mais effondrée de chez le coiffeur.
LAGINDOUIR = attendre l'air de rien à côté de son chien qui fait longuement ses besoins.
PLUTE = étiquette du prix oublié sur un cadeau.
BLACEFEQUE = journée cacabouillasse dont on s'était fait pourtant une joie.
Par extention : COURIR BLAQUEFECE = découvrir qu'on ne vieillira pas en si bonne santé...
BLOTTE = même famille que blacefèque... soirée qui se présente mal à priori et qui, à postériori, se confirme...
Spéciale "Messieurs" : AMPEGIR = faire pipi karcher sur la trace de caca qui reste sur la pente de la cuvette sans parvenir à la dissoudre.
Spéciale Cath by elle-même : ATROCINER = tenter discrétement et de façon répétée de déloger ce fichu mini-slip de la raie des fesses.
S'OTROMBILER = à bout de nerfs, envoyer tout le monde chier et déloger l'intrus une bonne fois pour toute au beau milieu de la foule amusée.
SE RATROCINAILLER = réaliser qu'au bout de 4 pas, l'intrus est de nouveau au chaud !
Vécu aussi : perdre ses Dim Up (le bas-jarretière qui tient tout seul... mais sans moi !) en traversant les Champs Elysées sur le coup des 8h30 du matin... C'est tellement affreux et naze que le mot, je le cherche encore depuis 1987..... !
A VOUS, VOS TRACAS & VOS MOTS DE MAUX (et pas vos Brie de Meaux, ah ah elle est bien bonne)
Rédigé le 29 juillet 2007 dans Coin des pas perdus | Lien permanent | Commentaires (9) | TrackBack (0)
Je vous sens impatients ou incrédules, ta-da... voici ma nouvelle copine !
Par contre, va vraiment falloir changer cette horrible ampoule...
la seule que j'avais sous la main ;) si c'est pas malheureux....
Alors, heureuses, mes petites baboles ?
Temps de réalisation : 6 heures entre l'abat-jour (torsion de fil de fer, bombage effet miroir et pose de mini strass pour refléter encore plus la lumière in and out) et le pied qui m'a bien fait virer chèvre vue que la récup', comme chacun sait, "c'est pas fait pour"....
Coût des ingrédients : pied = récup' / ampoule = oubliée dans un coin et retrouvée / fil de fer = récup' / bombe de peinture = 12 € / douille = 3,50 € / fil + interrupteur + prise = 6 €
>>> grand total = 21,50 € + ma peine
Plus de détails : cliquer sur les photos
Ouai, va vraiment falloir changer l'ampoule, même Bill le Mouton confirme !!!
Va falloir changer le décor aussi... Dios ! je ne peux plus voir ce foutu appart' de bourge de radada !!! Vivement qu'on bouge :)
Rédigé le 28 juillet 2007 dans Fashion bricolage, Good design | Lien permanent | Commentaires (21) | TrackBack (0)
encore assez de trucs à faire....
Voici mon projet de la journée : réaliser "ça" (le luminaire, je précise) >>>>>>
Vu chez BRANDVANEGMOND : site à visiter d'urgence, super bonne zik en prime !
Quoi qu'il arrive, je vous promets une photo dès que le machin bidule est fini :)))
Et bien sûr, le billet Vacances de Blog attend encore d'autres sympathiques liens et agraphes....
Rédigé le 26 juillet 2007 dans Fashion bricolage, Good design | Lien permanent | Commentaires (7) | TrackBack (0)
D'après mon angelot qui s'est amusé à paralléliser les grands moments d'une journée de vacances à dada, kèk' part dans le Connemara et aut' part, non loin du Cercle Arctique... :)
After shower:
In Ireland after a nice hot shower, we go down
to the grand hall (still in the castle, see) for a four-course meal with a
nice wine served by smiling Irish girls.
In Iceland (you notice we didn't get a shower),
we eat a brothy stew with a potato and very little boiled meat made by the guy
who comes along on the trail to change the horse shoes. We usually eat on our
knees and huddled close together for warmth.
"Á Sprengisandi" ou ridum ridum, est la chanson universelle des cavaliers islandais, qui raconte l'histoire des brigands chevauchant sur la piste du Sprengisandur. C'est la plus longue piste qui traverse l'Islande du Sud au Nord, au milieu du désert arctique, entourée de glaciers, de lacs, de rivières, de sables mouvants et d'esprits malfaisants...
Rédigé le 25 juillet 2007 dans Horizons | Lien permanent | Commentaires (15) | TrackBack (0)
Cath est "off limit" ces jours-ci, elle m'a laissé les clefs de la Planète ;) Ci-après des mots que moi, Cathy, j'aimerais savoir dire à quelqu'une que j'aime tendrement. Je ne peux pas. Je ne sais comment... Peut-être que ces quelques lignes viendront se poser sur la croisée de sa fenêtre... peut-être....
Elle est celle chez qui tout est repère, tout est familier, tout est confortable.
Rien n’a bougé depuis des lustres.
Le tiroir à chocolat, la petite paire de ciseaux à ongles pendue au crochet de l’armoire de la salle de bain, le bruit de la porte du sous sol, le parquet qui craque, l’odeur de la maison, l’odeur de notre enfance.
Elle attend en tripotant le coin de son gilet et elle nous reçoit avec toujours le même sourire, l’œil juste un peu plus trouble, la démarche de moins en moins assurée, toute petite, de plus en plus petite.
Sa vie ne lui appartient pas, elle l’a donnée aux autres.
Frères, enfants, petits enfants et arrière petits-enfants, une vie à s’oublier, à n’être heureuse qu’au travers de notre bonheur à tous.
Rien, elle ne regrette rien… partir, s’endormir chez elle en nous sachant tous heureux, voilà ce qu’elle voudrait.
Son corps lui fait mal. Rien n’est épargné. Tout est usé.
La tête et le cœur vont bien.
Le cœur pour nous aimer, jusqu’au bout, et la tête pour la lucidité.
Voir sa vie qui fout le camp et encore hésiter à demander, ne pas déranger…
Elle nous a tous dorlotés, soignés, nourris, embrassés et toujours gentiment disputés.
Sa maison est mon port d’attache, mon refuge.
Elle est la raison de mon équilibre et je ne sais pas lui dire.
Je ne veux pas qu’elle parte, jamais. Tant qu’elle est là, j’y suis aussi, encore un peu enfant, toujours sa petite rouquine.
Elle a peur ma petite Mamie. Bien plus que la peur de mourir, c’est la peur d’aller dans une maison
pour les vieux qui la tétanise.
Bien sûr, elle sait qu’elle ne peut plus faire grand-chose, que même sortir sur le trottoir pour acheter
son pain au boulanger ambulant, elle ne peut plus. Elle ouvre sa fenêtre, tend le bras puis retourne dans sa boîte.
Les journées passent ainsi, rythmées par quelques visites, le téléphone, parfois le médecin.
Elle ne se fait plus à manger.
De toutes façons, elle n’a envie que de sucré et puis, avec ses yeux, elle ne voit même plus ce qu’il y a dans son assiette.
Moi, je ne veux pas qu’elle finisse sa vie en ayant peur.
Je voudrais pouvoir lui dire «dors tranquille Mamie, tu resteras ici. T’as envie de sucré ? bouge pas, je vais te faire une tarte aux pommes, comme tu nous faisais. Tu te rappelles le cidre de frênette ? T’es fatiguée ? Viens, dors ma petite Mamie, repose-toi, tu l’as bien mérité».
C'est parfois si difficile de dire "Je t'aime"...
Rédigé le 24 juillet 2007 dans Guest blogueur/blogueuse | Lien permanent | Commentaires (13) | TrackBack (0)
Pour celles et ceux...
- qui ont un boulot salarié
- dans une entreprise
- cernés par les cons, petits cons du bas, moyens cons du même niveau, gros cons de l'échelle du dessus, cons gras de tout en haut
- au taf ou prétendu tel en ce mois de juillet
- alors que la plupart des autres cons ont mis leurs arpions gonflés de suffisance dans l'eau de mer, leur chien attaché à un arbre et leur petits cons à la colo
- qui ont un peu de relaps et un peu d'oxygène, tout seul, dans leur box à la con
>>> Voici mon conseil de découverte bloguesque "spécial été" :
Travailler avec des cons
"Pas prise de tête macro-économique, pas philosophique pour deux sous, pas grandes conclusions sur l'état de l'espèce ni la direction du monde. Du pur jus défouloir qui fait du bien par où il passe..." Cath
ET pour celles est ceux qui ont un boulot salarié
ET pour celles et ceux qui sont au chômedu ou au régime petits boulots devant des temps reculés et qui ne savent pas la chance qu'elles et ils ont de ne pas avoir à confronter tous ces cons tous les jours ouvrables que dieu fait...
C'on se le dise... Il parait même que ces cons-là ont con-mis un bouquin qui sort à la rentrée, d'où mon titre puant à la con "Bien préparer la rentrée" qui fait régulièrement la fortune de tous les cons chargés de con-seiller leurs clients de la grande distrib' en matière d'annonce con-sommateurs....
Moi, vous ra-con-ter tout ça ne me rapporte pas un Kon-pek. Preuve de mon absence totale de connerie s'il en était ??? ;)
Lire et relire > Les trous du culs qui se prennent pour des volcans
Et bien sûr, la recherche échevelée de nouveaux blogs à explorer continue ICI
Rédigé le 22 juillet 2007 dans Ethnico-psycho-socio', Livres-Tribune | Lien permanent | Commentaires (16) | TrackBack (0)
Par Cathy, invitée sur la Planète....
"Cette bougresse de Cath ! Elle m'a attirée dans ses filets... En me donnant ou redonnant peut être l'envie de raconter... Bla bla bla, rigolades et réflexions... on parle de nos travaux, de nos architectes, de nos vies, de nos grands mères, des bébés qu'on a eu ou pas et de "pourquoi on fait des bébés?"
Oui, tiens, pourquoi ?
Comment, ça on sait.
C'est assez facile et même parfois c'est agréable, mais pourquoi... bonne question !
Instinct de reproduction ? certes.
Besoin de savoir qu'après nous, quelque chose restera ? aussi.
Et puis quoi ?
Et bien, je vais vous le dire, moi, pourquoi les couples les plus improbables et les moins amoureux se reproduisent, donnant naissance à des êtres venus juste remplir le vide sidéral de leurs malheureuses existences.
Ils font des bébés, parce que c'est comme ça ! Parce que, quand on est en couple, ça se fait et que s'ils n'en faisaient pas, ce serait bizarre, limite suspect. Les futurs grand-parents trépignent d'impatience à l'idée de grimper d'un cran dans l'arbre généalogique, de voir leur descendance, les petits de leurs petits... alors, au boulot, à qui le tour ?
Imaginez la vie des ces gens là sans leurs histoires de couches-culottes, de nez qui coulent, et de premiers pas.
Enlevez-leur les engueulades parce que "je suis pas d'accord que ta mère me dise comment élever MA fille !". Enlevez-leur les heures à filmer leur progénitures, puis à montrer les films de leur progéniture.
Enlevez-leur les couchers, les levers, les heures des mamans, les bains, les crises, les larmes et les rires...
Enlevez-leur... reste-t'il quelque chose ? Des couples qui s'emmerdent "grave", qui n'ont plus rien à se dire et rien à faire ensemble.
C'est pour ça qu'en général, les bébés arrivent à 2 ans d'intervalle, pour renouveler l'ambiance...
Tout n'est qu'une question d'organisation. Entre crêche, nounou et périscolaire, ça fonctionne.
On les retrouve au supermarché le samedi, ou bien au fil des rayons chez Ikéa, ces joyeuses familles. Quelque peu sur les nerfs, gavant leurs rejetons de cochonneries immondes pour avoir la paix, un dans le caddy, l'autre faisant son kid shopping avec le petit chariot à sa taille.
D'autres parents, moins patients, lèvent une main rageuse sur le petit dernier, les joues pleines de morve hurlant qu'il VEUT le Batman, là, et lui assènent un "tu vas encore en prendre une toi !"
Chez certains, c'est l'enfant qui est responsable de la liste de course..."alors, mon chéri, tu veux lesquels de Kellogs ? Non ca, tu vas pas aimer, y'a pas de jouets dedans..".
Allo, la Terre ?
Et voilà des bataillons de gamins catapultés dans la vie au nom de la survie de l'espèce humaine et investis de la lourde tâche d'occuper leurs imbéciles de géniteurs. Pas étonnant qu'ils partent en couille, ils n'auraient jamais dû en sortir !
Comment ça, je suis négative ?
Et les bébés conçus dans un élan d'amour infini, par des futurs parents super bien dans leur pompes, ça existe aussi...
Oui, c'est vrai, ça existe. La preuve ? j'en ai vu ! Des fois, ils vont à l'école Montessori... mais ça.... c'est une autre histoire ;)
Et en plus, on pouvait pas faire plus "sujet d'actualité" merde !
http://www.radiofrance.fr/franceinter/em/ete2007/penelopecom/
"Les raisonnables ont duré, les passionnés ont vécu."
Rédigé le 20 juillet 2007 dans Ethnico-psycho-socio', Guest blogueur/blogueuse | Lien permanent | Commentaires (22) | TrackBack (0)
Choucroute Melba et saucière en strict'ailleurs
by Strip & Tripette
Merci Stripette de me laisser tant de place pour lancer un appel au blogopopulo = "comment peut-on faire pour intégrer DEUX Blog It Express différents sur une page de blog?"
Car si j'en créée un second, le premier, à gauche, que je souhaite conserver, est "écrasé" par le nouveau et s'envole chaque fois. Saperlipopette !
Merci pour votre aide :)
Rédigé le 19 juillet 2007 dans Strip Avenue | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
J'apprends que l'immense Pierre Henri, co-fondateur de la musique concrète, vient de léguer la totalité de son oeuvre à la postérité, aux bons soins de la BNF. Il convenait de célébrer l'évènement...
Pourquoi vous gavé-je avec Pierre Henri ? Messe pour le Temps Présent est un très grand moment de l'histoire musicale, sur lequel j'ai eu le privilège de danser, ou plutôt de lever les bras, affublée de papier alu tel un poisson en papillotes, quelque part dans les années 70 à la fête de fin d'années de mon école de filles :)
Les bras et le reste, je vais lever de nouveau et pour quelques mois... Voici le coupable : loft à aménager, 95 m2 plus terrasse et jardin et jardin intérieur, HSP à venir 4 m, dans ancien atelier d'escaliers en ferraille, 10 minutes à pinceaux du RER et à 3 stations de Denfert-Rochereau.
Pourquoi est-ce que j'associe Pierre Henri à notre futur lieu de vie ? Parce que tout, en ce lieu, me rappelle ces années-là dans ce qu'elles ont pu avoir d'incongru et de meilleur... et d'inattendu.
Souvenez-vous, lecteurs fidèles, j'avais juré mes grands dieux qu'on ne me verrait pas de si tôt investir dans le foncier en IDF, et voilà chose faite depuis lundi dernier.... Cochon qui s'en dédit houik houik !
Il faut dire que le prix, le potentiel (comme on dit ah ah ah) et le voisinage étaient tous proprement irrésistibles. La Maison des Communistes, un siège de la CGT, la maison d'Eric Satie, entre autres... Ca va nous changer des Hauts de Seine ;)
Stephen s'est mis devant Autocad illico et moi, sa muse, ait soufflé dans son cornet acoustique et un peu beaucoup dans ses burnes (ah les discussions et les zazillas, je vous dit pas).
Nous avons dessiné NOS pièces, comploté avec notre -encore sympathique à ce jour- entrepreneur.
Je hante depuis 10 jours les Castorama, Lapeyre et autres Point P ou Leroy Merlin à la poursuite de ce qui nous fait défaut, c'est-à-dire TOUT. Et hante moins vos blogs ainsi que le mien. De fait...
Nous sommes à présent dans l'état de grâce des nouveaux parents qui, emportés par la vision d'un avenir meilleur grâce à leur toute dernière production, ne réalisent pas, au quotidien, dans la sueur et les larmes, que les semaines à venir vont être plus de la veine "Enfer de Dante" que "Petite Musique de Nuit".
Billet à compléter hum hum....
La recette de Cath :
> Repérer dans les magazines et magasins d'aménagements branchés de Paris les bons plans et les acquérir au "quart du prix " chez Casto ou autre !!! Profiter des soldes et des promotions en prime...
> Remercier la bonne copine blogueuse qui travaille dans l'édition des aménagements et rénovation pour l'envoi de ses magazines. Remercier encore et toujours le bon copain blogueur pour ses conseils en matière d'énergie calorifère high tech à petit coût.
> Bon, ben, on vous tient au courant, preuves photographiques à l'appui....
Complément de note by Marcus >>>
Lire la suite "en devenir = variations pour un gravat et un soupir" »
Rédigé le 18 juillet 2007 dans Oeuvres en gestation | Lien permanent | Commentaires (36) | TrackBack (0)
Il y a des fois ou il vaut mieux se vautrer devant la télé que de "lire un livre". Vraiment. C'est le cas depuis quelques années avec le pic culminatoire de la "littérature de dindes".
Pour ceux qui l'ignorent encore : Bridget Jones et son Diary ont ouvert le bal, avec un certain talent et beaucoup d'humour.
Suite à quoi, la veine paraissant inépuisable, "certains" éditeurs ont contacté toutes les meufs en déroute sentimentale sur la place de Paris pour pondre ou plutôt caguer (quand on est du midi) un nombre extravagant de "bouquins" dont le mot de désordre seul, unique et définitif est : "tous les mecs sont des salauds et je dois m'en trouver un avant 30 ans révolus".
A l'appui, les interminables conversations cellulaires avec les incontournables copines et tous les détails vomitoires et copulatoires, en français d'arrière-gare, trans-conjugaisons à l'appui (les corrections sont sans doute effectuées off shore) soulignés par 50 "!" à la fin de chaque phrase.
L'onomatopée étant censée pallier le vide intégral des maux affalés à page que veux-tu.
Un gentil éditeur ayant pensé à moi, je viens de terminer un truc dont, par charité très chrétienne, je tairai le nom de l'autrice et le titre. Comme quoi, être "blogueuse influente" (arf arf !!!) comporte aussi sa part de risques....
En gros, c'est quoi ? le style d'abord = nullard comme une blague -longuasse- racontée par quelqu'un qui n'a aucun talent pour raconter les blagues. Vous voyez le trausme ?
L'intrigue = alors, la fille, et bé, elle est parisienne qui n'a jamais vu une vache en vraie, habite dans un truc de 20 m2, dans un quartier top-bobo, dotée d'un job lui permettant d'entrer partout, de connaître du monde, et de s'habiller gratis. Plutôt dans la mode hype fashion ou l'édition de magazines gays.
C'est sûr que dénicher un hétéro-bien-sous-tous-rapports-et-futur-père-de-mes-enfants dans ces secteurs d'activité, c'est comme tenter d'envisager le Dalaï Lama dans un bordel de campagne.
Ma grand-mère me disait toujours "faut pas péter plus haut que son cul".
La donzelle, qui vraissemblablement n'a jamais connu sa grand-mère, pète bien plus haut que son cul, en enfilant tout ce qui est beau et qui brille au ciel des night-lights. Imaginant que ces mecs-là vont daigner la rappeler pour un second round de jambonade. Ou plus, si affinités.
Dès le premier tour de vire-vire et de tape-cul, elle se voit déjà dotée de 3 enfants blonds-raie-sur-le-côté-qui-iront-loin-dans-la-vie, voguant dans un 500 m2 avenue Foch.
Ca me rappelle ma période platine dans un ancien petit port de pêche varois.
A la différence qu'à l'époque, je n'étais certainement pas en chasse d'un mari ni d'une couvée de dindons en prime.
Une seule chose en tête : faire la fête non-stop et en foutre plein la vue à tout le monde.
Un jour à bord d'un yacht si gros qu'impossible de le faire entrer dans le port... le lendemain, à bord du yacht voisin, plus petit, mais équipé d'un hélico... le surlendemain dans une suite fantasmagorique... et le jour d'après attachée dans un jet privé en partance pour la Lune. Et alors ? Rien.
Je n'ai aucun souvenir des divers propriétaires ou pilotes de ces engins ou de ces lieux. Et encore moins de leur conversation ! Et si j'en avais, ils seraient conservés dans un coffre coulé dans 30 m3 de béton armé.
Ce n'est ni avec ce genre de fables, ni dans ce type de milieu qu'on peut espérer commettre un bouquin ou une famille.
La dinde est conne, méchante et vaine. Bourrée de préjugés et d'a priori, raciste, menteuse, inculte, dénuée de scrupules et d'hygiène intime.
Des vacances en Afrique ? "youpi, je vais me faire ramoner par un black" > un nègre à grosse queue.
Un week-end à Miami en première classe ? "sympa mais mon sponsor ne m'a pas touchée durant deux jours" > ce sale con de pédé. Il doit avoir une petite bite en plus.
La rencontre tant espérée avec un mec génial et "possible" ? ah oui, mais non, tu comprends, il a un nom de famille grotesque, tu me vois m'appeler comme ça ?
En conclusion, une énorme question à caractère technique me turlupine : au vu de ce que je vois et de ce que j'entends, en quoi est-ce que ces nanas dénuées de cervelle et de coeur peuvent espérer séduire et s'attacher un homme digne de ce nom ?
Rédigé le 17 juillet 2007 dans Allez, zoo !, Girlz meet boyz, Zéro pointé ! | Lien permanent | Commentaires (24) | TrackBack (0)
Depuis plusieurs jours, diverses pensées m'animent : d'abord, je me sens moins la plume au derche qui me chatouille la main (traduire = j'ai pas envie d'écrire), je suis focus sur un seul truc (traduire = ma curiosité légendaire est pour l'heure en congès), j'ai mal au dos, au cou, au bras, aux fesses (traduire = plantée devant mon écran, à poil, à 9 h du mat', ça le fait pas du tout !), je me lève à 6 h du mat' et me couche à peu près à la même heure (traduire = je suis sur un coup et ces horaires matinaux sont exceptionnels), je sens que mon existence prend un nouveau tournant et dans le bon sens (traduire = merci mon dieu, merci mon blog, merci mes ami(e)s, merci mon jules, merci moi !).
Je vais donc passer moins de temps à fouir dans le sol pour remonter des trouvailles ou des tessons, c'est selon.
Et plus de temps sur l'internet pour découvrir des blogs ou des sites jusqu'ici à peine survolés ou tout bonnement ignorés. C'est le moment. En juillet et en août, il ne faut pas croire que tout le monde fait relâche. Au contraire.
Car l'univers de la blogotruc ne se résume pas aux petits mickeys parisiens de mes tifs partis chasser une ITV des moustiques in residence dans la Baie de Saint Tropez, en haut de la Dune du Pilat ou dans le Lubéron, au volant de leur décapotée, l'I-Phone des cons ramené de LA enfoncé dans ce qui leur tient lieu d'oreille...
Avez-vous remarqué à quel point tous ces gens, "dits de comm'", sont singulièrement sourds ? Communiquer ce n'est pas parler à perte de vue, c'est d'abord écouter et voir. Non, pas vrai, vraiment ???
Vachtement plus intéressant à mon sens, car une fois qu'on a fait trois fois le tour de son fond de culotte, grosso modo à la sortie de l'âge anal, si on n'a pas noté que la vie se déroule ailleurs AUSSI, autant se réincarner de suite en bousier du Congo.
Quoiqu'en matière d'empreinte écologique, le bousier africain est dix barreaux d'échelle au-dessus.
Et dans le bon sens siouplai.
Je vous propose donc, en ce 16 juillet 2007, d'aller passer du temps sur deux blogs qui en disent et en racontent des belles, l'un que j'ai découvert il y a déjà quelques mois mais qui me fait un bonheur total chaque fois que j'y traine (notamment grâce aux voix et aux ondes micro qui s'en dégagent !!!) :
> le Bac à Sable
&
> e-Cédric, "brièvement pas rencontré et toujours loupé depuis" la soirée Fragile(s) mais dont j'apprécie les humeurs et intempérances in virtuo et in petto
Et vous, avez-vous des blogo-perles que vous souhaiteriez partager ici ?
Merci, obrigado, grazie, spassiba, bedankt ! J'ai l'âme vagabonde et le havresac devant la porte qui me siffle.....
Dernière heure : autant vous dire de suite que tant que 100 (cent) nouvelles urls ne sont pas signalées en commentaires pour agrémenter mon humeur, ce billet reste dans l'assiette !
Rédigé le 16 juillet 2007 dans Chapeau toto !, Jeux de pistes | Lien permanent | Commentaires (47) | TrackBack (0)
Afin de traduire son engagement au-delà de la fabrication de ses vêtements (matière écologique comme le coton bio, travail dans les règles du commerce équitable avec les petits producteurs), IDEO recherche des mannequins ayant un fort engagement dans le développement durable. Si vous êtes intéressés ou connaissez quelqu'un qui est intéressé, n'hésitez pas à transmettre cette annonce ou contacter Cécile chez IDEO ici.
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Personnalité positive, souriante tonique et à l'aise devant un objectif
Taille (si possible ) : 1,65 m pour les filles 1,80 m pour les garçons
Tout style et origine : nous recherchons des personnes différentes et une réelle mixité dans le catalogue.
Engagement : nous ne recherchons pas forcément des personnes extrêmement engagées mais plutôt des personnes qui ont une véritable prise de conscience dans leur vie de tous les jours sur les sujets du développement durable.
Date de shooting : les 1er, 2 et/ou 3 septembre 2007
Rémunération : bons d'achat à valoir dans la collection IDEO
> Joli Webzine, coup de chapeau à toi, Laure de Green Is Beautiful, pour ton immense talent et ton engagement, ainsi que l'énergie de ton équipe !
. Sortie du Webzine de Green Is Beautiful à consulter ici.
. Avec la participation du blogueur Yoann et de l'écrivain et primatologue Emmanuelle Grundmann entre autres plumes vertes et bien taillées :)
. Se tenir informé des news de Green Is Beautiful = cliquer ici.
ps de cath : je postule pour mannequin > on va voir s'ils prennent des "vieilles" ?? !!! :))
Rédigé le 16 juillet 2007 dans Chapeau toto !, Durable planète ?, Fashion bricolage | Lien permanent | Commentaires (7) | TrackBack (0)
L'évolution de l'environnement conduit certaines espèces à muter rapidement ou disparaître...
Ainsi, la faune et la flore de la région de Tchernobyl se sont adaptées à un milieu hautement radioactif et font actuellement "florès" hors de toutes atteintes humaines (dont chasse, pêche, agriculture ou urbanisme).
De la même façon, des chercheurs de l'université de Prague, alertés par les habitants de la région de Bohême, ont pu observer une bien étrange créature.
Il s'agit d'un animal, dénommé faute de mieux "Oléophage" ou "Naphtophage", qui vit et se reproduit à proximité des mines de charbon du nord de la Bohême.
L'oléophage semble se délecter des gaz d'échappement et des flaques de pétrole... et a du mal à survivre en milieu sain.
Il est d'autant plus étonnant de rencontrer une faune endémique et aussi particulière dans cette région d'Europe centrale que cette dernière est répertoriée comme étant l'une des plus polluée de la planète.
D'ailleurs l'équipe d'universitaires n'a pu résider sur place que très peu de temps, avant de succomber à d'épouvantables crises d'asthme, allergies et autres.
Seule les boissons agricoles locales (à base de résidus de vidange ?) leur ont permis de résister assez longtemps à une atmosphère extraordinairement toxique et mener à bien leurs observations.
Le grand cinéacte Tchèque Jan Svěrák (auteur de Kolya, meilleur film étranger aux Academy Awards) les a accompagné lors d'une "expédition de chasse à l'oléophage" en 1988.
Cette fable écologique, intitulé "Ropáci", a même été couronnée par le Student Academy Award aux Etats-Unis.
Le pitch > retrouver les oléophages, les observer, les recenser, capturer un couple vivant pour le ramener à Prague afin de poursuivre plus avant les recherches.
Après maintes courses à la poursuite de l'hypothétique oléophage, et quelques aperçus d'oléophages heureux se baignant dans des boues toxiques ou copulant entre les minerais de charbon, tout en haut des crassiers, la fine équipe a finalement réussi à capturer un jeune.
Malheureusement, le petit (ci-dessous) n'a pas survécu au voyage du retour vers Prague. Empoisonné par l'air sain dégagé par d'immenses forêts de part et d'autre de la route... !
Voici quelques photos tirées du documentaire et un montage photo approximatif d'après les témoignages des habitants de la région.
Conclusion : à suivre... la chasse à l'oléophage reste pleinement et entièrement ouverte. La difficulté pour approcher ou capturer ce farouche animal reste inchangée. L'Europe vient d'ailleurs de débloquer des fonds aux fins de recensement de cette espèce qui pourrait nous en apprendre beaucoup sur notre propre survie en milieux extrêmes ! ;)
Rédigé le 14 juillet 2007 dans Allez, zoo !, Grand écran | Lien permanent | Commentaires (8) | TrackBack (0)
Taguée par Vanina, rubrique : "les 8 choses, au hasard, que je vais vous dire sur moi, me, myself, nombril du monde".
... Et comme d'habitude et comme Vanina, je m'interroge aussi sur l'intérêt de ce type de chaînes, jeux, etc...
Ma réponse est = AUCUN.
... Et comme d'habitude et comme Vanina, je joue quand même, par amitié pour la personne qui m'a tagguée et par amitié pour les copines/copains que je vais embarquer à leur tour dans cette "chose"....
J'AIME = l'ombre chinoise que les persiennes découpent sur les murs d'une maison d'été, à l'heure chaude où plus rien ne bouge ni ne bruit....
J'AIME PAS = les fautes de goûts de la part des individus qui n'ont aucune excuse en la matière, en raison de leur éducation ou leur état de fortune...
C'EST DUR pour moi le matin, j'ai peur de la journée qui m'attend, même en vacances, même en week-end, même au bout du monde... je me lève en souffrant... je ne parle à personne de proche car je n'ai rien d'important à dire ou sinon, en le disant mal... je redeviens normale vers midi....
Un mauvais moment à passer, chaque jour de ma vie, en attendant le soir, heure où je revis...
JE SUIS SNOB = "Le son même du mot snob, qui commence en sifflement pour finir bulle de savon, le destinait à une grande carrière dans le domaine du mépris et de la frivolité." Philippe Julian, le Dictionnaire du Snobisme.
JE M'AMELIORE ? sur ce front-là, non...
JE HAIS AVEC PASSION = les bigots, les notables de province, les notables du 15ème arrondissement de Paris, lieu où je ne mets jamais les pieds. Je suis vraiment snob :)
JE SUIS PRETE A PRENDRE UNE BALLE pour mon prochain, pour les autres, pour pas mal de monde en fait. Ca commence à l'école, déléguée de classe. Ca continue dans l'entreprise : déléguée du personnel, membre du comité d'entreprise, syndicaliste. Exangue, je rampe péniblement dans un trou pour reprendre mon souffle... et attendre un "merci" qui ne vient jamais... bof....
J'AI REALISE MON REVE LE PLUS CHER = rencontrer, un jour, sur le tard, l'homme de ma vie. Mais le rencontrer quoi qu'il en soit. Réalisant, de fait, le rêve de ma mère d'épouser son américain... il y a longtemps... histoire enfouie dans son coeur mais qu'elle a toujours laissé flotter autour d'elle. Nos rêves sont-ils ceux de nos parents, envers et contre tout le rejet que nous avons pu exprimer vis-à-vis d'eux ?
A vous : Marcus, Céline, Ceucidit, Béa, Manou et José. Tous les autres, vous pouvez me remercier et aller faire une grille de loto à ma santé :) C'est vendredi 13, pour tout le monde....
Béa vient de me demander quelle est ma chanson favorite. Je ne sais pas si c'est ma favorite, mais elle me touche au-delà de tout...
Rédigé le 13 juillet 2007 dans Jeux de pistes | Lien permanent | Commentaires (15) | TrackBack (1)
Temps de juillet, temps du bilan de cette courte année de blog pour moi. Encore un bébé blogosphérique puisque je n'ai mis ma première note en ligne que tout début octobre 2006. Avec l'aide et les conseils de Sophie Kune, qui restera ma marraine es blogs forever :)
Un véritable plaisir à tricoter les mots de mes réflexions au fil tourniquotant de ma pensée et de la vie telle qu'elle coule. Une gratitude à vous toutes et tous qui continuez de me suivre malgré tout ;)
Et un grand merci à vous qui m'avez accordé votre confiance pour mettre en oeuvre ou relooker vos blogs, projets auxquels j'ai pris un immense plaisir !
Christine et le Blog du Monde
Aïda et Activaussi
Hervé, Du Tsunami au Développement Durable
Thierry et Gérald et toute l'équipe (Nathalie, Elodie, Bachyr), pour la société EcoAct
Odile et le nouveau Marketing & Convergence
Rédigé le 12 juillet 2007 dans Good design | Lien permanent | Commentaires (11) | TrackBack (0)
Voici le message que tous les pétitionnaires soutenant l'émission Arrêt sur Images ont reçu ce matin de Daniel Schneidermann.
Pour ceux qui souhaitent encore signer pour le maintien de cette émission sur France 5, cliquez sur la bannière ci-dessus ou retrouvez Daniel Schneidermann sur son BIG BANG BLOG ici.
"Chers amis,
Je ne peux m'empêcher de vous appeler ainsi, tant vous avez compté dans la vie de toute l'équipe d'Arrêt sur images, au cours du mois écoulé.
Vous êtes près de 175 000 qui avez signé la pétition initiée spontanément par l'un d'entre vous, Anthony, et réclamant le maintien de votre émission sur France 5.
175 000 ! Ce mouvement, sans précédent, nous a emplis de fierté et de gratitude. Il justifie pleinement le travail accompli, tout au long de ces années, par notre équipe. Je veux d'abord, du fond du coeur, vous remercier. Nous vous avons beaucoup donné. Vous nous le rendez aujourd'hui, et de quelle manière! Nous vous donnerons encore.
Anthony va clôturer cette pétition le 18 juillet prochain (tout le monde a droit à des vacances). Il la remettra alors à la direction de France Télévisions. Si certains de vos proches n'ont pas encore signé, c'est le moment !
Malheureusement, il est peu probable que votre mobilisation soit couronnée de succès. La direction du groupe public a donné maints signes publics de son refus de revenir sur sa décision. Je ne la commente pas ici. Je l'ai assez fait, au cours des semaines écoulées.
Mais ne pensez pas pour autant que votre mobilisation aura été vaine.
Elle aura d'abord montré la force de la demande sociale d'une critique des médias, exercée au sein même des médias. Cette demande, nous la connaissions. Elle vient de crier, paisiblement, qu'il faudra compter avec elle. Malheur à ceux qui l'oublieraient !
Votre mobilisation aura ensuite poussé puissamment à la résurrection d'une émission comparable à Arrêt sur images.
A l'heure où je vous écris, des discussions se poursuivent avec plusieurs médias, français et étrangers, susceptibles d'accueillir notre travail dès la rentrée prochaine. Ne m'en veuillez pas, pour une fois, de rester un peu plus discret que d'habitude, et de faire violence à mon tropisme de la transparence: ces discussions ont besoin d'une certaine tranquillité. Vous serez informés aussitôt que possible sur le big bang blog. Laissez-moi seulement vous dire que tout est encore possible. Vous n'avez peut-être pas fini de vous arrêter sur les images avec nous, sur les écrans de votre téléviseur, ou...de votre ordinateur (ou des deux).
Bon été à tous. N'abusez pas de la télévision !
Pour toute l'équipe d'Arrêt sur images,
Daniel Schneidermann"
Rédigé le 11 juillet 2007 dans Chapeau toto !, Zéro pointé ! | Lien permanent | Commentaires (14) | TrackBack (0)
Boulevard Raspail, à deux pas du métro Bac, quelle bonne surprise de pousser la porte d'une galerie à l'ambiance vitaminée et aux prix doux, présentant une très belle sélection d'artistes.
Un oeil aigu et une approche assez inattendue dans ce quartier à la réputation cossue.
J'ai envie de vous parler d'Envie d'Art (allez faire un tour sur leur site d'information et de vente en ligne). Des gens simples et amicaux, ayant débuté dans le métier en achetant d'abord des oeuvres pour les accrocher chez eux. Tout en subissant le regard narquois et les zéros de trop du "galériste" établi qui n'a pas manqué de les jauger et de les mettre en fuite. Du coup, les "Envie d'Art" sont allés parler directement aux artistes et visiter leurs ateliers pour découvrir des coups de coeur. Le jour où un copain a voulu racheter l'une de leurs trouvailles, ils ont plaqué leur job pour se lancer dans l'aventure.
Ainsi est née "une nouvelle génération de galerie", appellation qu'ils revendiquent.
Ce qui rend heureuse l'équipe d'Envie d'Art au complet (Adeline, Carole, Cathy, Kerstin, Martina, Yann) ?
Un artiste qui, grâce à eux, rencontre un public pour la première fois. Un artiste qui peut enfin vivre de son travail. Découvrir de nouveaux talents ou exposer des valeurs sûres qui souhaitent se faire connaître d'un plus large public. Quand les "Envie d'Art" transmettent le virus et que l'art devient une passion pour les clients ou tout simplement quand ces derniers entrent pour passer un moment à papoter...
Envie d'Art, à Paris : 29 boulevard Raspail ou 24 rue Treilhard ou 4 avenue Bugeaud, ou bien en ligne, tout simplement ICI pour "craquer" depuis chez vous (peintures, collages, sculptures, montages, pochoirs, photographies).
>>> pas de "publicité" de ma part ici, snif, mes murs sont vides, à part mes oeuvres.... mais oui, un vrai grand coup de coeur !
Rédigé le 11 juillet 2007 dans Good design, Mon Paris | Lien permanent | Commentaires (8) | TrackBack (0)
Lors de ma journée en Sorbonne pour assister à la première grande table ronde du Collectif Green Is Beautiful, Julien Delord, du Konrad Lorenz Institute a soulevé une intéressante question lors de son intervention sur "les extinctions d'espèces ou les méandres écologiques".
L'histoire du Dodo mauricien est révélatrice d'un certain état d'esprit face aux espèces vivantes, qu'elles soient de nature animale ou humaine : la recherche de la justification de leur extinction.
Petit rappel historique : le Dodo ou dronte mauricien, gros oiseau marcheur ne pouvant voler (à l'instar de l'autruche, du kiwi, du casoar), a été victime de l'arrivée des premiers colons hollandais, dans les années 1600 et totalement éradiqué en 1690.
Au 19ème siècle, Bory De Saint-Vincent (naturaliste et officier de marine) mène l'enquête sur cette infortunée créature et se penche sur les représentations graphiques de cet animal. Il constate rapidement qu'au début de la colonisation de l'Ile Maurice, les artistes représentent très précisément le Dodo. Mais au fil des années et de sa raréfaction, sa représentation devient... caricaturale.
Les dernières représentations le montrent définitivement grostesque et balourd, affublé d'un énorme bec affreux et de yeux ronds assez méchants.
Une façon de "dire" : cet animal a disparu car il semblait vraiment trop mal conçu pour survivre.
Grâce à l'inesthétisme ou l'inutilité à priori de la créature, la déculpabilisation de l'exterminateur est garantie !
De la même façon, les mammifères marins (émouvantes baleines, gentils dauphins, si beaux et tellement copains avec les hommes) font l'objet d'un semblant de protection de notre part depuis des années, alors que nous commençons à peine à nous préoccuper de la place essentielle et du sort tragique des requins, bien vilains et si méchants !
Pour ce qui est de l'espèce humaine, il suffit de jeter un regard sur les oeuvres naturalistes des découvreurs et des conquérants pour constater que les indigènes n'entrent pas dans les canons de l'esthétique occidentale... Dépourvus de beauté, d'âme et de fait d'humanité, on peut en disposer au même titre qu'un matériel (matériel humain). Pratique et efficace. D'autant que si ce matériel disparait après qu'on l'ai fait trimer à en crever, on met la main sur son territoire et ses ressources en éradicant tout problème de voisinage... !
Remontant encore plus loin, que n'a-t'on pas dit et écrit sur l'homme de Néandertal, qui n'a pas survécu à l'extension homo sapienne, par manque de résistance aux maladies tropicales amenées par les Homo Sapiens, pour cause de stérilité, ou par archaïsme et bêtise, ou autre....
Tout en représentant ce cannibale primitif doté de traits peu flatteurs.
Eliminer un rival gênant est particulièrement difficile à admettre, il faut bien en trouver raison.
Il aura fallu attendre l'après Seconde Guerre Mondiale, pour que scientifiques et naturalistes commencent à se pencher, objectivement, sur la question de l'accroissement et de l'extinction des espèces, puis que la notion de biodiversité fasse enfin son apparition dans les années 80.
La biodiversité désigne la diversité du monde vivant, y compris l'homme, au sein de la nature et suggère que toute espèce a sa place et son utilité au sein d'un système, même si cette utilité nous échappe à priori.
L'histoire montre que depuis la Renaissance, une sensibilité à la survie des espèces a existé mais pas en continu. Rien n'est jamais acquis, je le répéterai souvent !
Actuellement, nous connaissons une phase ascendante dans notre prise de conscience et nos tentatives de protection de ce qui peut encore l'être. Il faut garder à l'esprit que toute tendance, aussi objective et fondée soit-elle, peut néanmoins à tout moment se retourner...
Avis aux atypiques, aux différents, aux "inutiles", aux invisibles, aux "moches", aux étranges : que vous soyez humain ou animal, ne relâchez jamais votre vigilance.
Le besoin de l'homme de réduire l'autre à sa mesure est si grand, et sa capacité à mépriser et se justifier en rejetant la faute sur sa victime si bien rodée...
Rédigé le 09 juillet 2007 dans Allez, zoo !, Durable planète ?, Ethnico-psycho-socio' | Lien permanent | Commentaires (9) | TrackBack (0)
Années post 81. Mitterand a libéré les ondes et c'est la ruée sur les boites d'oeufs dans les supermarchés : qui ne monte pas son studio de radio libre est un sombre "will have been".
J'en étais -tu penses !- à l'époque déjà bien dotée d'un irrésistible désir de casser les pieds de mon prochain avec mes ruminations.
L'affaire s'appelait Ouistiti, émission radiophonique d'une heure tous les mardis soir, sur la fréquence marseillaise de Radio Sud quelque chose.
Il s'agissait pour moi de dénicher des choses étranges ou cocasses dans la presse ou les bouquins et d'emballer le tout à coup de California Sound. Donal Fagen. Steely Dan. Toto. Epoque oblige.
Comme dans tout, il y avait de tout dans ce phénomène des radios libres, du pire et du meilleur. Surtout du pire et du qui déraille.
Des forums politicardo-syndicalisto-estudiantins, des révoltés du Larzac, des gens qui draguent, des gens qui voient la fortune au bout du tunnel (NRJ est un remarquable exemple de réussite), des gens qui n'ont rien à dire mais qui le font savoir. Des gens qui fument trop et n'importe quoi :))
La fougue avec laquelle toute une génération s'est jetée dans cette aventure était remarquable.
Car c'était quand même moins facile et "moins gratuit" que d'ouvrir un blog et trois petits tours, n'est-ce pas les 'ti djeuns...
Fallait obtenir une fréquence au milieu d'instances immédiatement débordées par le phénomène.
Puis fallait la tenir, de telle heure à telle heure, en partageant les ondes avec une ou plusieurs autres radios !
On appelait à la rescousse les copains, les copains des copains, qu'ils viennent avec leurs LPs surtout !!!
Qu'ils viennent avec une histoire, un témoignage, un concours, une bonne blague. N'importe quoi, qu'ils rappliquent.
Fallait un local, un équipement complet de diffusion et de réception des appels (tout le monde tenait "ligne ouverte"), constituer une équipe de "radio reporters" ou de fantaisistes comme moi, puis les tenir fermement en tout bénévolat..
Les blogs avant l'heure ?
Mais de sacrés blogs, car les ratures passaient en direct live.
Il semble que chaque génération invente le moyen de casser les limites qu'elle croit imposées par la génération précédente.
Nous ont sortait de "X" années d'information monothéiste (De Gaulle, Pompidou, Giscard), on avait l'impression de réinventer le monde à chaque mot, on se prenait pour ....
Bref, on se marrait foutrement bien.
De temps en temps, Ouistiti renaîtra ici même.... car j'ai exhumé les scripts de toutes mes émissions, y compris les programmes musicaux, lors de mon dernier passage à la maison, à Marseille... Quelle chance on a !!! :)
Et vous, les radios libres, ça vous "dit" quoi ?
Rédigé le 07 juillet 2007 dans Radio libre | Lien permanent | Commentaires (16) | TrackBack (0)
C'est tellement secret et confidentiel qu'on n'ose plus en parler....
J'espère quand même qu'il y a quelques joueurs en lices car il y a un super lot à faire fondre en bouche comme un loukoum (week-end au Maroc comme un vrai pachaton... aï aïa !!!!) >>> LE JEU ICI
Bon, voici mon indice, et comme je suis à sec, pour une fois, je vous les fait en ZEBU rébu...(niveau de facilité = débutant) >>>
OK, OK, je vous explique mieux... -merci Cédric pour ton inimitable prose en matière de règles du jeu :)- >>
"Nous sommes 40 bloggers… et nous allons jouer tous ensemble et avec vous !
L’idée est simple, chaque jour sur le Blogger Secret Story blog, nous allons publier 5 secrets appartenant à 5 bloggers…
Bien évidemment, ils seront dans le désordre et il faudra trouver à qui appartient le bon secret.
Pour vous aider, les bloggers cacheront un indice dans un billet publié le même jour sur leur blog (VOICI LE MIEN CI-DESSUS.... doncque...)
Pour participer, il suffira, une fois votre petite enquête terminée, de publier ICI un commentaire avec vos 5 propositions…
A la fin, on comptabilise le nombre de bons secrets trouvés… et le pseudo qui en aura découvert le plus gagnera en week end au Maroc au Riad 9.
On se fout pas de votre gueule hein?"
POUR RAPPEL : LE JEU A DEJA COMMENCE CE MARDI, 3 juillet, déjà 3 jours à rattraper pour ceux qui sautent dans le ouagoon :)
Vendredi 13 juillet = les résultats....
Rédigé le 06 juillet 2007 dans Jeux de pistes | Lien permanent | Commentaires (19) | TrackBack (0)
By Strip & Tripette !
Rédigé le 05 juillet 2007 dans Strip Avenue | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Méa culpa : j'ai honteusement menti sur le blog des Ménagères hier, en disant à Manou que j'avais regardé Intervilles lundi soir. Et je mens affreusement au Bac à Sable en lui déclarant que je ne regarde plus la moche TV.
Lundi soir, je suis venue m'échouer devant le Bonheur est dans le Pré, sur M6.
Pour ceux et celles qui ont la chance d'ignorer cette chose, continuez votre route !
Pour les autres spectateurs, j'exprime ici ma stupeur que j'espère partagée, devant cette bande de jacouilles, mâles et femelles, montés à Lutèce pour trouver l'âme soeur.
Enfin, l'âme, c'est tant dire... Deux bras et deux jambes pour faire tourner la soupe et les viaux de 5 h du mat' à 10 h du soir, 7 jours sur 7.
En deux mots : séance de speed dating pour "les gars et les garces", histoire de faire connaissance en 5 minutes, cadran solaire en main, et évaluer l'ampleur de l'herbage et le nombre de têtes de bétail.
Puis comme dans l'lle de la Tentation, y'a sélection. Chaque gars et chaque garce retient deux présupposé(e)s sur la meute et les invite à venir passer une semaine à la ferme.
La Ferme, c'est vraiment "la ferme et bosse". Je vous passe les détails de l'arrivée d'une malheureuse blonde en Corse, accueillie par la (très) grosse (infâme) copine du paysan, histoire de tester la pauvre fille. Dans le genre élégant et gentleman, c'est hot.
A peine arrivée "en haut", elle se fait huer car elle n'a pas les bottes adéquates. Et qu'est-ce que tu vas foutre avec ces bottes "de ville" alors qu'il faut sortir la merde de la bergerie et à grands sauts ! Pas un verre d'eau ni nada en guise de bienvenue... Le soir, nouilles "Potin" à l'eau et à l'huile Bio, produite par cet énergumène de mes noix, qui croit que parce qu'il fait de l'huile Bio, il a tout compris à la vie. Du con va !
Conclusion rapide, car je suis énervée là.
Pourquoi ces bouseux-là sont-ils(elles) dans leur tas de bouse et tout(e) seul(e) en plus, car que personne n'en veut ?
Ce n'est pas tant que le travail est dur à la ferme. Car oui, il est dur. Et on est loin de tout. Et oui, on est loin !
Mais avec un peu de tendresse, de gentillesse et d'humour, tout est possible !
Souvenez-vous de ce film magnifique de Marcel Pagnol d'après un roman de Giono : Regain ! L'ex-fille de rien, mais fille de la ville, enceinte par-dessus le marché, en train de répandre son grain dans les champs et à la main, sous un soleil cuisant. Tout lui est possible car elle aime et est aimée.
Moi, un mec qui me pète à la gueule et se tient comme un porc mal léché dès la toute première rencontre, ce n'est pas un TEST, c'est un GOUJAT. Point final.
Un petit manuel des codes de la séduction pour ces jacouilles ne serait pas de trop.
En tout cas, si M6 a décidé de coller définitivement la grosse caricature à trois balles de foin et la honte sur le monde agricole, et bien, c'est réussi... Et c'est NUL !
Rédigé le 04 juillet 2007 dans Zéro pointé ! | Lien permanent | Commentaires (21) | TrackBack (0)
Ben oui, c'est bel et bien une question à laquelle -pour une fois n'est pas coutume- je n'ais point vraiment de réponse.
J'ai bien googlelisé et wikipédié partout, ressorti mes vieux Sciences et Vie, Discover et Reader's Digest...
Suis tombée sur des articles expliquant que dans une frâtrie, le premier fils a tendance à piquer toute la testostérone contenue dans la mère et que le cadet est bien souvent homosexuel de fait.... ?!!!????
Et que les aliens sont déjà parmi nous = les 15 signes pour les reconnaitre ?!!????
Mais niet, nada, rien sur mes hommes "enceints" cavaleurs !
Force m'a été de constater que quasiment tous les hommes que je connais ont des poussées d'hormones masculines -testostérone- durant la grossesse de leur conjointe.
Avec pic culminant le jour de l'accouchement !!!
Pendant que Madame pousse, Monsieur trousse !
Le soir, quand le tout-frais papa rentre à la maison après la clinique, il appelle quelques copines "pour fêter ça" et "puis, j'ai plus l'habitude d'être tout seul à la maison".
Y compris les vieilles copines "que si on avait dû faire un truc, on l'aurait fait depuis 20 ans, et on l'aurait très vite oublié... " Voir un vieux pote avec tout soudain l'oeil allumé et le sourire baladeur, ça fait vraiment très très bizarre....
Mais peu importe la bonbonne, pourvu qu'on ait l'ivresse, pas vrai ?
Alors, avez-vous une explication vous à ce besoin pressant.... mais de quoi ?
> Se rassurer ?
> S'affirmer sur une meute de femelles, tel le chimpanzé dont nous partageons la génétique à 99% ?
> Constater que son zizi n'est pas tout sec, tout tombé par terre et égaré kek-part ?
> En faire un bon gros dernier avant la -longue- route et les 30 ans de galère ?
> Ou tout bêtement, exprimer sa joie en agitant la queue, nous partageons aussi beaucoup d'ADN avec les clebs ? :)))
- c'est moi qui ait collé le pompon sur celle à Robbie, qui en a une belle et je la vends... pout info... mais cher, mais elle est belle, ouh là oui -
Rédigé le 03 juillet 2007 dans Ethnico-psycho-socio', Girlz meet boyz | Lien permanent | Commentaires (23) | TrackBack (0)
Rédigé le 03 juillet 2007 dans Fashion bricolage, Grand écran | Lien permanent | Commentaires (7) | TrackBack (0)
Avec les assauts de plus en plus gonflés des créationnistes, protestants, catholiques ou musulmans, satanés révisionnistes de l'histoire de l'univers et de la science, avatars d'un obscurantisme que l'on croyait révolu à jamais, il est essentiel de garder à l'esprit que ce qui semble vrai, solide et universellement admis aujourd'hui ne le sera plus demain.
Copernic et Galilée en savent quelque chose.
Sans pour autant faire ma petite révisionniste moi-même, et souhaitant attirer l'attention sur le fait que tout ce qu'on lit dans Wikipédia est loin d'être exact (!!!), il existe quelques points, communément acceptés, qui méritent d'être redressés concernant l'astronome et mathématicien visionnaire que voici : Galileo Galilei.
Trois premiers secrets dévoilés :
On peut laisser son nom dans l'histoire et être un drôle de type, un père indigne et un vieux grigou : catholique dévôt, Galilée a néanmoins collé 3 moutards à sa compagne, sans jamais songer à en faire une femme respectable en l'épousant, au grand désespoir de la malheureuse. Les 3 petites filles ont été mises au couvent et oubliées là, jusqu'à leur mort, leur père refusant d'ouvrir sa bourse pour les dôter (alors qu'il avait des sous).
Quatrième secret :
On peut passer à la postérité pour une histoire de pendules, sans jamais avoir été foutu de fabriquer la moindre horloge qui marche : en effet, en dépit de toutes ses découvertes sur le mouvement pendulaire, suite à l'observation d'un lampadaire se balançant dans la Cathédrale de Pise, Galilée n'a jamais réussi à fabriquer une pendule, malgré de nombreuses tentatives.
Cinquième secret :
Et le télescope ? itou. Il ne l'a pas inventé mais a piqué l'idée à un fabriquant hollandais de lentilles, ayant mis au point la longue vue, Hans Lippershey ! Par contre, Galilée a été le premier à utiliser la longue vue pour observer le ciel. Confusion, fusioncon.
Sixième et septième secrets :
Un précurseur autodidacte = oui. Galilée a fréquenté l'université, mais en est ressorti sans le moindre diplôme ! Comme quoi... Et un défroqué en rébellion : après avoir étudié la médecine, pour faire plaisir à papa, Galilée a pris la décision de devenir moine. Puis a changé d'avis. Papa Galilée l'a très mal pris et l'a obligé à aller jusqu'au bout pour une fois. Aussitôt ordonné, aussitôt en rupture de monastère.
Huitième secret :
Piètre professionnel et viré ! Engagé comme prof de maths à l'Université de Pise, Galilée s'est montré fort désagréable avec ses collègues et nul en pédagogie, personne ne comprenant rien à ses cours. Il a été promptement "remercié".
Neuvième et dernier secret :
Né trop tôt pour le concours Lépine... hélas : Galilée, à ses heures perdues, a inventé successivement une machine à cueillir les tomates, un peigne de poche pouvant être utilisé comme fourchette.... et un stylo à bille !
Le facétieux personnage a joué un dernier tour à la papauté un siècle après sa mort. Son corps exhumé, un fan a subtilisé le majeur de sa main droite "en souvenir". On peut le voir aujourd'hui, exposé au Muséum d'Histoire de la Science, à Florence. Bien dressé en direction de Rome ;)
Rédigé le 02 juillet 2007 dans Futurs & gros cerveaux | Lien permanent | Commentaires (14) | TrackBack (0)
Et plus c'est con, plus on fait le "moulon" :)
Trouvé chez Thomas, puis vu chez Vinvin, on peut se faire son Simpson Avatar ICI.
Juste pour le fun. Acte gratuit. Simpson's Second Life, quoi !
Finalement... peut-être pas si con.
Voici Katiouchka Simpson, of the French Republic of Bananas...
En route pour coller le feu à Springfield Illinois !!!
Et hop, Marcus, Manou, Béa, Ceucidit, Marie et La Bille de Clown en Simpson !
Je relève les copies demain ;)
... Chez Moe's, Katiouchka la cousine pétroleuse raconte à Homer sa dernière blague : un cocktail molotov dans le tuyau de la centrale...
Rédigé le 01 juillet 2007 dans Coin des pas perdus | Lien permanent | Commentaires (8) | TrackBack (1)
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