Planetargonautes

1er janvier 2007, paix et courage ...

déni de vérité et de justice

6:05 ce matin, heure de Bagdad, Saddam Hussein a été pendu haut et court.

Sentence de mort suite à son procès concernant l'exécution de 148 villageois Chiites de Doujaïl en représailles à un attentat manqué en 1982.

Cette exécution est un déni de vérité et de justice :
suite à un semblant de procès, dans un pays occupé, mené sous des pressions considérables.
Il aurait été nécessaire d'expatrier Saddam Hussein, ainsi que sa clique, à la Cour Pénale Internationale, pour l'élaboration et le suivi d'un véritable procès, avec des juges expérimentés, l'ensemble des chefs d'accusation, une défense digne de ce nom et surtout une information à la face du monde.

A présent, l'ensemble de ses autres crimes et actions ne seront jamais éclaircis ni jugés.

Saddam Hussein, l'excellent ex-client de l'Occident, emporte dans la tombe le secret de ses alliances et ses amis du passé qui l'ont aidé, armé et soutenu, dans ses crimes innombrables contre l'Iran, contre les Kurdes, les Chiites, contre son propre peuple, au nom de leurs intérêts. Nombreux sont ceux qui se sentent soulagés ce matin...

>> Lire également chez BellaCiao ici et ici

L'Irak supplicié, pays artificiel bâti sur les ruines de l'Empire Ottoman, avec pour son malheur ses immenses champs pétrolifères, sera l'objet d'une série de billets sur ce blog. Je souhaite à tous les Irakiens le retour à une vie "normale".... un jour, sans doute....

après le lancer de nains, le lancer de Wii :)

"Lâcher ou lancer la manette ne fait pas partie du jeu !"

La réalité dépasse une fois de plus la fiction : je me suis bien doutée d'un lézard quand j'ai vu la pub à la télé... Et ils l'ont fait, les vrais utilisateurs du joystick sans fil de la console Wii : la Wiimote.

On ne compte plus les vitres brisées, les écrans de télé fracassés, les yeux éborgnés.
Immergés dans leur match virtuel, les joueurs s'échauffent, gesticulent, transpirent et projettent, dans un mouvement brusque la "télécommande à reconnaissance de mouvement" hors de leurs mains moites.
Dans de tels transports d'enthousiasme ou de violence, la dragonne qui attache la Wiimote au poignet du joueur ne résiste pas longtemps et hop, projectile dans le décor ou sur la tête à ma copine !

Depuis le 21 décembre et pour prévenir des accidents plus graves.... Nintendo propose des sangles plus solides.
Mais c'est compter sans l'impatience de certains afficionados : Karunga (olé !), un joueur australien a bricolé des menottes achetées dans un sex-shop pour attacher fermement la malheureuse Wiimote à son poignet.

On a les Basic Instincts qu'on peut ;)

illustrations : site Wiihaveaproblem et autres....
en savoir plus sur les crétins et autres lancers de nains

victimes des boutiques magiques, UNITE !

Cha, ma soeur en détresse, et à cette heure, championne toutes catégories du grand concours de boules, m'a inspirée un billet d'humeur d'humour sur les attentions dont NOUS POUVONS TOUS ETRE VICTIMES, suite à la lecture attentive, par nos entourages, de certaines mauvaises lectures....

... au fil des ans, je me suis vue offrir, en vrac et en détails :

une boite de "véritables émeraudes", aussi grises et rapeuses que des murs de pissotières, qui ont terminé comme gravier au fond d'un pot dans le jardin

une mini machine à coudre qui n'a jamais cousu que mes doigts (j'ai quand même essayé une fois !) puis s'est ensuite auto-enroulée-cousue ! Inspiration possible pour Christo et Jeanne-Claude ?

un gant à un doigt (!!!) orné d'une houpette, sans doute pour faire des effets de doigts dans les diners

un manneken pis distribuant des cacahouètes, des petites seulement, car les grosses ne passaient pas "la douane"

une petite lampe qui dès qu'on l'allume se met à tourner sur un paysage de bataille navale : cette kitscherie avait encore ses chances, tellement c'était laid, le hic c'est qu'elle a stoppé tout vire-vire dès le 3ème jour

une lampe de poche équipée d'une batterie comme suit : tu fais clic clic pendant une heure et produis dans l'ordre (1) une tendinite ferme et définitive de la main droite (2) une faible lueur qui ne dure qu'un instant...

une demi-théière qui donne l'heure sur son demi-flanc, objet de souvenir car l'heure indiquée est celle de Pékin au moment où la demi-théière est sortie des mains de l'ouvrière !

toute une série d'animaux à planter dans les pots et qui font grrr grrr dès que la terre est soit-disant trop sèche = résultat = toute une série de plantes à la poubelle, pourries au-delà du possible

une boite à compresser tous les vieux morceaux de savons qui trainent ça et là et faire un magnifique savon puzzlesque et multicolore qui tombe en morceaux dès la première tentative d'utilisation

un gros cuistôt ventru avec une tête amovible, faisant office de poubelle de table, 20 ans après que la mode de ce type d'horreur soit enfin passée ! mais, indique la notice: "on peut également en faire une boite à gâteaux ou une jolie bonbonnière"

Tous ces objets du passé ayant fait le bonheur des passants de ma rue, je ne peux malheureusement les reproduire ici...

PS : ouh ouh, à la poubelle, direct la gueule du diable de Tasmanie, tous les zaffreux qui sont en train de vendre leurs cadeaux sur le ouèbe!

Tu crois au Père Noël ?

En ce jeudi de lendemain de fête, la question reste posée... selon qu'on ait reçu un chouette cadeau ou qu'on soit déjà sur eBay en train de le larguer.....
Bonnes Fêtes quand même, Strip & Tripette !!!

la tête : de nouveaux éléments !!!

Je remercie tous les blogonautes qui ont, jusqu'ici, apporté témoignages et éléments d'information sur la tête !
J'ai mené, en parallèle, mes recherches notamment auprès des personnes habituellement "initiées" : francs-maçons, chefs de cabinet, anciens barbouzes, nègres d'écrivains célèbres, ma concierge > autant de voies sans issue.
Ils sont tous totalement largués sur le sujet, bien qu'ayant, eux aussi, noté la présence de la tête un peu partout.
Et puis, je me ballade à présent avec ma tête sous le bras pour la montrer à tout un chacun, ayant réussi à décoller une affichette devant le Doom, sur les Champs Elysées !!! >>>

Entretemps, j'ai commencé à recevoir des mails de la part d'un "Inconnu9" (propriétés de l'adresse introuvables et quand je réponds, pour demander plus d'infos, le mail me revient en erreur), qui a dû repérer mon premier post sur le sujet...

Messages assez elliptiques, accompagnés de photos que je vous livre ci-dessous :

24 décembre ! Grand concours de boules :)

  ... avec pour cochonnet ou "gari" le cadeau le plus incongru que vous ayez jamais reçu ;) *

Une bonne occasion de consoler celles et ceux qui ne reçoivent jamais rien !

Joyeuses Fêtes !!!
et toute de suite
une petite embûche de
Noël Noël compositeur, chansonnier, comédien 1897-1989

 "Les courtisans sont toujours plats.
Les courtisanes ne le sont jamais !"


ps : je crois que c'est le post le plus c.. que j'ai jamais commis à ce jour, pardon à vous et désolée Noël Noël de t'entrainer dans cette panouille.... !

(*) Dernière heure : visiblement, je me suis faite mal comprendre (biscot' un rhume à défoncer les murs qui disperse mes neurones)
"Grand concours de boules" = "raconte-nous le cadeau le plus naze que tu aies jamais reçu !"

 

2 x 007 et tous les autres Love :)

"Quand j'aime, je le dis"... raconte la petite mère en machouillant son sucre d'orge... :)
Mais, elle peut aussi changer d'avis devant les fâcheux et fâcheuses. Là, elle crie moins fort mais le leur fait comprendre à 8-clôts... Les binious qui sifflent avec le vent et les "qui attrapent le melon" l'ennuient profondément. Donc acte...
La vie est trop longue, faut se faire du bien ;) Youhou !!!

Tous les matins, tombant du lit > directo mon clavier > j'ouvre deux blogs "en prime" : Elise et Môsieur Resse.

C'est comme à Noël, quand on démaillote les papillotes en se demandant ce qu'on va bien pouvoir trouver dedans ! Une blague, un poème, une prédiction, un pétard ?
PAN !

Diamétralement opposés ces deux papillotes, ET de couleur ET de goût, mais miam à chaque fois.
Je savoure leur intelligence, leur âme et leur coeur au fil de leurs trouvailles....

Tous les autres, faites pas vos jaloux car votre revue et commentaires de blogs suit dans les minutes juste après mon cahoua :)
Faisant même des billets doux à vos propos : le monde de Titus, Stéphane de Cuisiner en ligne, Cat des Designers blogueurs, Roberto de BellaCiao, Hélène & David les Stripettes, Thomas de la rivière aux canards, Henri !, et my taylor is rich, j'en oublie... j'en oublie... j'en oublie....) pour vous dire à quel point je suis comblée de ces rencontres en 2 ou 3D, depuis début octobre...

J'avais même dans l'idée de faire un post sur les talents des blogs versus les faramineuses merdouilles, par le haut et par le bas, produites à coups de millions, qu'on nous sert à à la télé à grands "coûts" d'Arthur, de Cauet, pour les tops of mindless qui me viennent de suite.... beuuuuurrrrrkkkkkkkkkkkkkkkkk !

Et puis, la grosse fainéantise...

Depuis Téhéran, la fête de Norouz "ancestrale et magnifique, d'harmonie et d'amour"

J'étais à deux doigts d'intituler ce post "Iranians love their children too"...
... Histoire de dire qu'il est bon de ne pas confondre tout un peuple avec un leader populiste et révisionniste... (certes, "après tout, ils l'ont élu", mais rappelons-nous comment ils ont pu en arriver là...).

Donc, l'an nouveau est presque là... Les chrétiens se préparent à fêter Noël, les juifs célèbrent actuellement Hanukah (la fête des lumières) et bientôt Rosh Ashana et les musulmans ont leurs propres célébrations, dont Muharram, en janvier.... Et puis les autres font ce qu'ils veulent ou peuvent :)
Bien sûr, ces célébrations ne correspondent pas à notre calendrier grégorien et s'avancent, pour certaines, jusqu'au printemps.

Mon ami Ali Hossein Zadeh a bien voulu jouer le reporter pour nous faire découvrir, depuis Téhéran, la fête de Norouz (now = nouveau, rouz = jour), ou fête du nouveau jour.
Petit rappel : les iraniens sont des perses et non des arabes et leurs fêtes et traditions sont  très différentes dans leurs origines et leur signification.

En fait, Norouz est sans doute la célébration du passage à l'an nouveau la plus ancienne au monde, datant de plus de 6000 ans !

la vache à remonter le temps

Toujours à me balader le nez en l'air... j'ai "serré la main" l'autre matin à un bananier en plein coeur du 15ème.
Revenant à moi, je m'appuie un court moment sur une vache bleue déguisée en Kangoo qui, d'un coup de corne, me propulse directo dans l'antre d'une étonnante tribu : celle de Michel & Augustin....

L'endroit est tellement vitaminé que je m'y remets très vite de mes fibrillations sous les yeux d'une chorus-line de vaches à boire... à la vanille, à la framboise, montée sur des himalayas de petits sablés tous ronds, bien craquants, au beurre, au chocolat et au "pavot"-vanille YAOOOOH !
Tout autour, des humains chouettement maraboutés et en lisière de ce pandemonium, deux garçons qui ont piqué les best-offs de leurs mamies pâtissières :
Michel, heureux détenteur de deux plantes vertes, d'un vélo mais plus grand chose sur la tête & Augustin, le proprio de la kangoo et de 3 adorables bébés. Ces deux jeunes "trublions du goût" ont eu l'idée de ces savoureux produits qui évoquent les goûters d'antan. On peut facilement les commander via dame-postière depuis le site du clan.

Merci Jean-Pascal pour la jolie photo & clin d'oeil d'or à toute la tribu enchantée et délicieuse...
Et encore un cadeau : la toute dernière carte postale reçue de la tribu !

c'est jeudi, restons zzzzzen

Des jours et des jours à courir derrière les trains, annulés, retardés, soudainement supprimés. A m'écraser dans des métros bondés et puants. A me faire cogner en m'aventurant sur les Grands Boulevards. La magie de Noël & de la grogne sociale combinée, ah ah !
Alors j'ai adopté la YogAttitude, pas celle de Johnny, mais celle de Strip&Tripette !

en 2008, on rase gratis : fume, c'est du belge !

Gros temps aujourd'hui sur la planète !
L'actualité m'incite à poser les yeux sur notre dernier avis d'imposition...
Je vous fais grâce des calculs de "taux" et de "tranche d'imposition", auxquels s'ajoutent les "prélèvements libératoires" sur les produits de notre épargne... C'est déjà suffisamment vertigineux pour nous d'arriver à de tels niveaux avec nos revenus actuels...

Mais mon propos, ici, n'est pas de gémir ou de remettre en cause notre participation à l'effort national.
C'est ci-après que le bât de la mule blesse >>>

Lundi, dans mon quotidien favori, je lis que Mister Thierry Breton, ou plutôt n'importe quel zigomatique à sa place en 2009, nous fera grâce de tout impôt sur nos revenus de l'année 2008 !
Je me frotte les yeux car ça, c'est hénaurme... "les contribuables acquitteront en 2008 l'impôt sur leur revenus 2007 et dès janvier 2009, celui sur leurs revenus de l'année en cours". Oups, on saute une année ?

Mais ce qui me fait bondir, avant de m'enfoncer plus loin dans la lecture de ce petit miracle, c'est le truc ci-après, mon oeil ayant été irrémédiablement attiré par le nom de Johnny et la mention de sa glissade dans le chocolat :

ma première Fanny's Party !

C'est mon grand copain Jacques (mais depuis hier soir, je ne sais plus si je suis sa copine :) qui m'en a d'abord parlé : La Fanny's, rendez-vous mensuel inévitable des geeks puis des geeks&blogueurs associés. C'est Fanny Bouton qui a lancé ça, et vous en saurez plus ici !

Que se passe-t'il dans une Fanny's ? et bien on boit des pots avec les "virtuels", tout en mettant chair et os sur des personnages bien souvent rencontrés jusqu'ici en 2D seulement. Et de la chair, et de la bonne il y en avait au programme...

M... de m..., j'avais pas ni micro ni caméra (et n'en ai pas gagné hier soir) car Môsieur Resse nous a interprété tout BBH75, avec les bruits et tout ! Un boeuf avec Gilles aux drums et Frédéric en pleine rêverie.
Puis Jacques a enchainé sur Le loup, le renard et la belette. Bref, un moment de grasse !

Collés à eux et à moi, comme un gros nounours d'amour, Saint Giant Panda, mon compagnon de désespoir qui a tenu le coup jusqu'à la fin de la soirée pour gagner.... des trucs à gratter et un étui à mousse !
J'ai honte de dire ce que j'ai eu moi, sur les 22 h passées.
Oui, car hier soir, y'avait loterie de Noël chez Fanny!

Youpi ! Les meilleurs morceaux du gang des Tontons Blogueurs, les vrais ! étaient présents :

Fred de Mai, le Voyou... qui parle dans le verre, entre autres media ;)

et puis le Bon (Charles Liebert, yeux fermés, ci-après, sans et avec les dents)... Beber le Bleu (ai retrouvé un super photo, ci-dessous, à gauche, avec la superbe Chab'So).. et le Surfeur (Olivier Serres, venu incognito !).

 

Mais dans une Fanny's, on ne fait pas que ça, on se soigne aussi....

Tremplin pour l'Art et Greffe de Vie

Mon ami, dès mes tous premiers pas de blogueuse, Sébastien Robert, m'a invitée ainsi que vous tous/toutes ici à nous rendre les 20 et 21 décembre à la Maison des Essec, à Paris pour participer au Tremplin pour l'Art.

Cette toute première édition est organisée en partenariat avec la Fondation Greffe de Vie et a pour but de promouvoir de jeunes artistes, peintres et illustrateurs : Athali, Milène Guermont, Isabelle Hervé, Jonathan Kavanagh, Evelyne Maubert & Martine Rupert.

Ces jeunes artistes pleines de talent et de créativité offriront chacun une œuvre à la Fondation Greffe de Vie. Ces œuvres seront vendues aux enchères au terme de l'exposition (programme ci-après).

L’art est indispensable, vital, essentiel. Il mérite du temps et de l'espace. Or les événements qui offrent de vraies rencontrent avec de jeunes artistes atypiques et talentueux sont aujourd'hui rares.

Pour visiter et participer à Tremplin pour l’Art, rencontrer les artistes, assister à la conférence et prendre part à la vente aux enchères en soutenant la Fondation Greffe de Vie,  communiquez vos coordonnées complètes ici
Et pour les soutenir, contacter Pierre Morgat au 06 20 41 33 06 !

Raymond et Ginko perchés sur un nuage...

Ginko, mon ami de 16 ans (en années carlin, ça fait 112 ans !), s'est envolé mercredi dernier dans un dernier ron-ron...
... pour se percher sur un nuage où il accompagne au piccolo les solos de bandonéon et de scie musicale de l'ami Raymond.
Ces deux-là ont tout pour s'entendre : le coeur, le rire et une grosse pincée de folie !
Ginko, chien mélomane (pétomane aussi à ses heures) appréciera la chanson que Titus dédie, aujourd'hui, à son ami à museau plat et qui lui rappelera le jour où il a bien failli passer sous une voiture... Life is no safe business for a dog !

"Depuis quelque temps, mon chien m’inquiète...
Il se prend pour un être humain et je n’arrive pas à l’en dissuader.
Ce n’est pas tellement que je prenne mon chien pour plus bête qu’il n’est... Mais qu’il se prenne pour quelqu’un, c’est un peu abusif !
Est-ce que je me prends pour un chien, moi ? Quoique, quoique...
Dernièrement, il s’est passé une chose troublante qui m’a mis la puce à l’oreille ! Je me promenais avec mon chien que je tenais en laisse...
Je rencontre une dame avec sa petite fille et j’entends la dame qui dit à sa petite fille : "Va ! va caresser le chien !" Et la petite fille est venue me caresser la main !
J’avais beau lui faire signe qu’il y avait erreur sur la personne, que le chien, c’était l’autre...la petite fille a continué à me caresser gentiment la main...

au secours, "la tête" revient !

C'était en 99 ou en 2000, je ne me souviens plus très bien, quand j'ai commencé à voir cette tête fleurir un peu partout, notamment aux abords de la mairie du XVIème à Paris.
Au début, j'ai cru à une blague de "jeunes dorés sur tranche du coin", faite à un de leurs copains, pas très gâté par mère-nature, faut bien l'admettre ;)
Et puis j'ai commencé voir la tête un peu partout dans Paris. L'acharnement des potaches n'ayant décidément plus de limites...
D'autant que l'affichette est réalisée sur un papier collant imperméable. C'était plus sérieux que je ne pensais au départ... Ayant tenté de ramener une tête à la maison (on ne sait jamais la valeur que les choses peuvent prendre, un jour, sur e-Bay), impossible de la décoller du poteau sur lequel elle était enroulée !

Et paf ! voilà que la tête revient et que je recommence à la rencontrer un peu partout. En l'espace de quelques jours, rue de Rivoli, dans le Marais, Place Victor Hugo...

Quelqu'un ici a-t'il remarqué cette tête également ?
Dites où vous l'avez vue (rue, quartier) ?
Avez-vous la moindre idée du personnage qui ne revendique rien d'autre qu'un sourire plutôt concon ?
Ou qu'est-ce qui se cache derrière cette opération (ONG, OGM, secte, parti libertarien, SOS coiffeurs...) ?

En outre, il me semble que la tête ait vaguement inspirée une campagne de recrutement d'une célèbre banque....

Ceci aurait-il un lien avec cela ??

Bref, quelle est votre idée sur la question, cela m'intrigue et intrigue pas mal de gens autour de moi que j'ai déjà interrogé sur cette contagion ? Il faut qu'on trouve ! Merci pour votre aide et vos témoignages !!!

du sens de la fête...

Comme chaque année, à la même époque, les "fêtes" approchent. Ne comptant plus la quantité de nez qui se froncent d'horreur à cette perspective, ni les articles de presse sur le "stress" occasionné par les fêtes de fin d'année, je me suis dit qu'il serait bon de s'interroger sur le sens de la fête en général et sur sa lente mais assurée disparition dans nos pays occidentaux en particulier.

Petit retour en arrière de quelques milliers d'année. Depuis le Paléolithique, les humains se réunissent pour ripailler, danser, se déguiser, se maquiller, et ce durant des jours et des jours.
Ces réunions avaient pour but de resserrer les liens, de nouer des alliances, de rapprocher hommes et femmes en âge de procréer. On a retrouvé dans des grottes en Angleterre des peintures rupestres de danseuses endiablées datant d'environ 10 000 ans.
Il n'existe pas une seule civilisation connue qui n'ait pratiqué la fête comme un moment essentiel de la vie : on a même évalué qu'un jour sur quatre était consacré à préparer une fête, tailler des instruments de musique, assembler parures et costumes, chasser, cueillir, récolter, distiller afin d'offrir un festin inimaginable de nos jours.
Nos ancêtes vivaient pour faire la fête et pas autrement...

de l'importance de la liberté d'expression

"Bella Ciao" (compositeur inconnu) était le chant des partisans italiens de la Seconde Guerre Mondiale, ces résistants qui, à partir de 1943, ont combattu massivement les forces d'occupation allemande en Italie, en Grèce et les formations mililaires de la République de Salò. Au total 300 000 partisans dont 35 000 femmes.

Tout en sifflotant cette entrainante chanson (interprétée ici par Yves Montand), prenez connaissance de l'incroyable mésaventure contemporaine du blog BellaCiao, ici et maintenant... et, si vous le souhaitez, apportez-leur votre soutien...

... afin que les BellaCiao et tous nos blogs et toutes nos formes d'expression, enfin libérées ? ne finissent pas pendus à un croc, à la façade d'un garage automobile, sur la place Loreto à Milan...

"Dieu aima les oiseaux et inventa les arbres. L'homme aima les oiseaux et inventa les cages."    Jacques Deval

Dernière heure : je vous dis "merci", passants sur la planète, qui apportez votre soutien à BellaCiao depuis ce matin !

Mon Web 3 avec Scott Rafer

A chacun ses "sommets de Davos de la blogosphère"... ;)
Moi je préfère le tête-à-tête avec les bonnes têtes du milieu.

C'est nettement plus sympa, instructif, moins show et politico-hexagonal (> post scriptum).
En outre, le show, c'était cool il y a 20 ans sous le soleil de Saint Trop'. Aujourd'hui, je trouve que l'ambiance n'y est plus...

Doncque, hier, rencontre au World Café entre Scott Rafer and me-myself. Au menu, une conversation à bâtons rompus et un super tajine aux pruneaux. Merci Scott, dont l'épouse libanaise, restée à SF (CA.), ne renierait en rien tes bons choix en matière culinaire !!

Scott est, à bien des égards, le bienfaiteur de l'humanité des blogueurs tels que moi : le mec qui a imaginé le "social networking simple and stupid" pour rencontrer d'autres blogueurs, et plus vite que ça... et ne plus bloguer seul sur son île au milieu des océans.

Voici comment : en 2005, deux geeks enthousiastes, Eric et Todd, dont les têtes sont à présent connues de la terre entière ou presque, lancent MyBlogLog...

jeudi, leçon de langues...

Minable (fam.) = d'une pauvreté, d'une médiocrité pitoyable. Ex : une bande de minables.
Minable [minabl] (péj.) = shabby, seedy, pathetic, miserable, failure, loser. Ex: what a pathetic bunch of losers. Or in other words: a clinker, a flop, a lemon, a dud, an underdog, a washout.... and my all-time favorite: a no-hoper!
Et si après ça vous n'avez pas encore pigé, Strip&Tripette vous font un dessin...

Ekobo, fou de bambou

C'est l'histoire d'un oiseau migrateur, né à Saïgon d'un père en mission pour l'Unicef. Après maintes aventures sur plusieurs continents et avoir lancé "Un jour la tendresse s'étendra sur le monde" (Anaïs Anaïs), il fait une pause pour redécouvrir sa vie et lancer son projet...
Lui, c'est Bruno Louis. Le projet, c'est Ekobo, lancé en 2003 avec les dirigeants de la Bambouseraie d'Anduze, Simon, le botaniste, et Renaud Crouzet, son frêre, un ancien du Strate College Designers (comme me-myself !)
La femme de Bruno, Boo, est responsable du "beau" en assurant une partie du design et tendant, par ses dessins, à exprimer les tendances d'ici avec les matériaux et le savoir-faire de là-bas.

Ekobo, une ligne 100% bambou et 200% design !
Belle, laquée aux coloris acidulés (rouge, citron vert, mandarine, kiwi, bleu) ou naturelle, et extrêmement résistante.

Toute la gamme est fabriquée dans la province de Hanoï au Nord du Vietnam, par une centaine de familles d'artisans, que Bruno connait bien et visite régulièrement, employés et rémunérés selon les règles du commerce équitable.

Ces produits innovants et de grande qualité (3 mois pour la réalisation manuelle et le contrôle de chaque pièce) sont vendus aujourd'hui dans 17 pays et plus d'une centaine de boutiques.

Egalement par correspondance, via le site Ekobo, ou bien chez Ekobo Home, 6 rue Vauvilliers, Paris 1er arrondissement, à deux pas de Beaubourg.
Très chouette boutique où on est super bien reçu par Bruno et David, intarissables sur leur passion du beau et du bien fait :)

Dernière heure : du 18 au 23 décembre, Ekobo participe au Marché de Noël des Créateurs d'Autrement / espace Beaurepaire, 28 rue Beaurepaire (métro République)

à micro ouvert !

Bourse : pour combien de temps encore à ce rythme...

Blogs : et après... le retour de la caisse à savon et du speakers' corner ?

Remises en perspective, piquées chez Carl et Huub.

'tite traduction du dialogue des chiens du quartier : "j'ai bien tenu un blog perso, mais ce sont mes aboiements compulsifs dans la cour qui ont réellement captivé mon auditoire"

... ce jour, n'ayant plus rien à rajouter, les chiens philosophes prennent le relais....
vous avez le droit d'évoquer les bonus "moyens" à un million d'euros des platine boys de la City, l'état du monde en général, objet du boneto financier, des bulles diverses et variées qui sont en train de péter en douce et dont on ne vous dit rien, vos listes de courses pour Noël, vos futures bonnes résolutions, le truc qui vous gratte dans le dos... etc... Bref, tous sujets ou perles vous passant à hauteur du nez et vous donnant le goût d'agiter les doigts...

Les chiens vous écouteront de leurs quatre oreilles attentives et prendront fidèle note de vos humeurs, poèmes, encouragements, et autres chants d'oiseaux :) Un petit os aussi ?

Elise émoi

Nom d'une plume d'oie !

Voilà pourquoi nous n'avions plus de ses nouvelles depuis quelques jours...
Le poète et photographe, Im'Politis, tricotait une histoire d'amitié dans le secret de son blog :)

PS : et voici mon poème préféré chez Im'Politis... 

les invisibles et la société (part 2)

Suite au premier billet concernant les jeunes invisibles face au travail, voici le deuxième volet de la série des invisibles : l'invisible dans l'entreprise ou le déni de reconnaissance.

Le regard de l'autre vous traverse sans vous voir, vous êtes invisible... Cette scène ne se produit pas dans la rue ou dans le métro. Elle se produit au bureau.
Et quel que soit votre statut ou votre raison d'occuper les 3 m2 de moquette qui vous sont alloués : cadre, employé, intérimaire, prestataire, stagiaire...

Historiquement, on peut assimiler le début de cette maladie avec l'avénement des "ressources humaines". C'est du moins mon point de vue.
Si les membres d'un entreprise sont assimilés à des ressources, donc à des produits, on peut de fait en disposer à discrétion, au même titre que les amortissables de l'entreprise...
Comme il ne serait pas très politiquement correct de dire ainsi les choses, il faut bien habiller la mariée...

Kaouther Bellouednine, de verre et de feu !

Tunis, décembre 2006 - Kaouther Bellouednine est une jeune femme aux yeux noir de jais profond, crépitant d’étincelles de feu, lorsqu’elle parle de son art et de l’héritage qu’elle est seule à porter en Tunisie : vitraux et mosaïques.

Pour elle, ils sont l’expression finale de travaux et recherches pour une maîtrise du verre sous toutes ses textures et de ses alliances avec d’autres matières, tel que le cuivre, le bronze...

Avec Kaouther, nous sommes confrontés à ces chercheurs de l’expression artistique, qui ne se contentent pas de reproduire les expériences déjà vécues, mais qui explorent, torturent la matière afin qu’elle finisse par restituer la vision qui l’habite.

Placide croque les z'ommes et vogue le crayon...

C'est l'histoire d'un 'tit gars de Port Sainte-Marie, grande banlieue d'Agen... et accessoirement de pruneaux...
Car avant d'exp(l)oser l'actualité de son trait de feutre quotidien, Placide a fait des siennes dans les Balkans, pimentant le quotidien de l'armée française sur Azur FM Sarajevo, hybride de "Good Morning VietNam" & de France Info.
Son ton, inimitable et pince sans rire, contribuant à faire passer à nos pioupious le goût des pruneaux amers qui sifflaient sous ces latitudes à l'époque...
Libéré de toutes obligations militaires et remercié chaleureusement en haut lieu, Placide (Eric, de son vrai nom, gravement traumatisé dans l'enfance par la lecture de Placid et Muzo et de Pif le Chien) est retourné à sa passion première, le dessin...
Du temps où il crayonnait partout dans la demeure de son papa, pruniculteur à ses heures.
Le pruneau ne tombe jamais loin de l'arbre puisque le métier de pruniculteur consiste non seulement à collecter ce fruit précieux, mais à le cuire la nuit suivant la récolte.
Bon sang ne saurait mentir, Placide, à présent formidable dessinateur de presse, cuit son dessin du lendemain entre la récolte des dernières infos de minuit et 4 heures du matin.
Ensuite dodo et tourne la planète.

Où trouve-t'on les dessins de Placide ? chez lui d'abord !
Quelques échéances électorales se profilant, sans doute en d'autres lieux... à suivre... !
Sans oublier les murs des palombières, dans le Sud-Ouest, traditionnellement truffées de fresques salaces... les chasseurs étant ce qu'ils sont et la palombe se faisant attendre... Signalons que le niveau culturel et décoratif desdites palombières étant nettement relevé depuis que Placide y planque avec ses potes. Sa seule arme étant un feutre, précision utile pour les amis des bêtes :)

Le dessin de presse est remarquablement développé et apprécié dans la presse anglo-saxonne, depuis le Herald Tribune, le NYTimes, le Guardian etc... jusqu'à la plus obscure feuille de choux du fin fond du Queensland.
Placide/Eric s'apprête d'ailleurs à buller en angliche, histoire d'aller brûler les planches un peu partout à présent. Il a déjà commencé... "France is burning" :)

Votez Placide, et longue vie à ses grands z'ommes !

Post scriptum : tout ceci, "c'est la faute à Henri !" qui organise actuellement une expo de Placide dans les locaux de Communider. Bravo Henri, un flair comme ça, ça ne s'improvise pas.
Rencontrés hier soir, entre deux Coronas bien fraîches : "le président qui commente l'actu" sur le blog du Chi / le courageux initiateur de BellaCiao, actuellement "in trouble" pour raisons de muselage de l'expression / le marketeur intraitable de PLM / un jeune designer et son papa, tous les deux pleins d'avenir... / et tous les autres, Domi, Yves,... / que du beau quoi !

le jeudi, on hisse le drapeau noir !

Les pirates écument les vagues de petits-porteurs.... une seule bouée pour mille naufragés....
au secours Strip & Tripette !

le blog de tous les designers première !

Designers, graphistes, web designers, illustrateurs, photographes, rédacteurs, pubeurs et marketeurs : join the party!

Sacrée Catherine, pas moi, mais Catherine (Cat) Morley qui a lancé un blog, un beau dimanche en s'entrainant à en faire un.
Vous vous reconnaissez ?

Au départ, une idée toute simple au détour d'une discussion entre deux amis : donner une meilleure visibilité au travail de divers designers et graphistes et autres oiseaux détenteurs de plumes et talents alertes...
De l'étincelle originelle est né Designers-who-blog (les designers blogueurs), portail d'entrée vers les blogs de designers présentant leur vision de leur métier, réalisations et projets. DWB est réalisé sous l'égide de Creative Latitude, qui rassemble aujourd'hui une centaine de membres actifs autour du monde, dont le propos est d'échanger sur les bonnes pratiques de leurs métiers. Pretty neat eh?

L'objet de DWB est la promotion du métier de "créatif", expliquant ce qu'est le processus créatif et quelle peut être sa valeur ajoutée en terme de business.
Ou comment la créativité, qu'elle soit écrite ou visuelle affecte et impacte les audiences (citoyens, consommateurs, etc...).

Le blog permet également aux professionnels du monde entier de se rencontrer et confronter leurs expériences, méthodes, éthiques. Un knowledge management des créatifs ?

Inutile de préciser que le Sunday Hobby de Cat, par ailleurs co-fondatrice de Creative Latitude, est devenu référent dans son domaine et consulté en permanence par les entreprises à la recherche de l'idée et du talent pour l'exprimer. Quant à Cat et son équipe, ce sont des "accro blogueurs" qui n'ont aucune intention de guérir, she's hooked! Tous bénévoles, except when it comes to client stuff....

Une initiative anglo-saxonne dont je n'ai malheureusement pas trouvé d'équivalent francophone....

Bravo Cat et bonne continuation à Designers-who-blog, ouvert bien entendu aux créatifs français qui y sont attendus et bienvenus >> soumettez-votre blog à Cat et pourquoi pas, participez à son nouveau projet ici

Saint Et' encore et toujours...

La Biennale du Design de Saint-Etienne, clôturée le 3 décembre, a été une très belle réussite. Elle est en vedette chez Monsieur Territoires, que je remercie pour elle. Je rappelle que Didier Saco a le mérite de la plongée dans une journée stéphanoise hors du commun, ainsi que la narration de son aventure... je n'en suis que l'humble rapporteuse... :)
Un coup de projo sur le blog territorial par la même occasion ou "la communication territoriale en faits et en débats", qui mérite le détour pour les quelques rares ne le connaissant pas encore !

& pour information, le blog de la Biennale joue les prolongations et reste ouvert même après la fin de l'évènement :) Merci Bruno !

même à Spielberg, on a dit non !...

CharlElie Couture, l'invité de Titus , pour une interview qui décolle...
pouvais-je passer ce moment sous silence ?  en-au-cun-cas !!!

En transparence dans la vie
On passe parfois comme un lavis,
Mais moi je suis tout ouïe
à ce qu'on me dit
à fortiori
s'il s'agit
d'une ou d'un ami.

Encore merci
CharlElie

Grisbi or not grisbi !

 Ah ! les cons.... 

Mes cousins Volfoni me font part de la proposition malhonnête de leur poteau Jeanphi. L'oiseau a mis à sécher sur ses lignes la peau de ses textes préférés, d'Alexandre Dumas à Michel Audiard. La grande classe quoi !

Actuellement, ce sont les Tontons Flingueurs qui s'y font feuilletonner.

Audiard, Lautner et Simonin, tout le mitan nous les envie.
Ben, faudra bien que le mitan se mette à causer Frenchie s'il veut apprécier ça ! .

Pouvais-je possiblement lâcher une perle sur les Tontons, sans faire un peu de barouf autour des...

les invisibles et la société (part 1)

Au hasard de mes rencontres, discussions et lectures, j'ai identifié une nouvelle catégorie d'individus : les hommes et les femmes invisibles !
Je n'évoque pas ici les projections futuristes inspirées par la science fiction des années 50. Mais un mal rampant, tel un virus, touchant de plus en plus de personnes, quel que soit leur âge, à l'insu de leur plein gré.
Un beau matin kafkaïen, on se réveille en réalisant qu'on est devenu invisible...
Les invisibles sont déjà ou seront bientôt en marge de la société française actuelle, pas intégrés (*) et peu en passe de le devenir.

Premier volet : les jeunes invisibles avec la problématique, par exemple, de leur intégration sur le marché du travail.
Sur le blog d'Oxynéo, j'ai relevé un questionnement, des commentaires, des témoignages vécus.
Je pourrrais citer d'autres sources.
En gros, elles posent tous les mêmes questions, soulignent la même détresse et si les diagnostics abondent, pas foule de remèdes en vue...
Mais, j'ai peut-être une piste...

Venus & Mars are alright tonight...

Les Wings y sont peut-être pour quelque chose...

Je m'appelle Vénus du Val des Rousses (mais pour vous, ce sera Vévé), née un onze décembre de l'an deux mille quatre.
Ma longue queue touffue a été coupée tout bébé : il s'agit là d'une coutume cockerienne, davantage respectueuse des standards de la race que de mes éventuels choix personnels.
Considérée comme une chienne de chasse, mon appendice caudal me gênerait, paraît-il, au cours de mon débusquage de bécasses dans les broussailles du coin.
Ce qui entre nous demeure quelque peu ridicule puisque je suis contre la chasse, même à la bécasse (!), la pêche et le lancer de foies de veau avec Gérard Prouton. 

Miaou ! Où suis-je ?

Ce souriant animal se trouve quelque part sur un mur à Paris.
Un chat sur un mur, dans un cadre fleuri, quoi de plus normal après tout ?

Mais où donc agite-t'il ses petites pattes ? ;)

Indices : pas loin de la Seine, mais pas "comme d'habitude" / en compagnie d'un aspirant empereur / salué chaque jour par une armée de beaux étudiants = F.A.C.I.L.E !

l'île d'entre deux mondes

Aujourd'hui, envolons-nous !
Le Blog du Monde me fait le bonheur de relater un instant fort de ma vie, touché par la grâce...

Vécu au sein des volcans et des vallées escarpées du Landmannalaugar, parmi un groupe drôlement hétéroclite (artistes, écrivains, professeurs, pêcheurs, mathématiciens, députés, ou tout simplement agriculteurs... ainsi va l'Islande :)
Et en compagnie des chevaux que je considère comme parmi les meilleurs au monde, les chevaux islandais, appelés "poneys" de façon totalement erronée !

social + écologie = une bonne formule de comm' mais pas seulement

Dans mon billet sur "Une brève histoire de l'avenir", de J. Attali, ce dernier évoque l'émergence de l'altruisme intéressé.
Les entreprises sont devenues les nouvelles "cathédrales" de notre temps, elles détiennent le pouvoir et les moyens d'influencer le cours du monde.
En tant que "stakeholder" (ou partie prenante : consommateur, salarié, citoyen), pouvons-nous faire confiance à ces dernières pour concilier respect de l'environnement, justice sociale (interne et externe) et bonne santé économique ?

Certains se sont donnés pour mission d'accompagner les entreprises dans leur engagement déclaré et l'implémentation d'actions sincères et authentiques, éléments fondateurs d'un véritable progrès économique et social.
C'est le cas de la société EcoAct, agence sociale et environnementale.
Son objet : concevoir, réaliser et promouvoir des programmes adaptés à la politique de développement durable des entreprises.