C'est le mot ! "V-R-A-C"
Retour sur Paris caniculaire.
Soleil, ça change du temps foireux dans le sud de la France... veste de laine et parapluie (merci Béa pour le pépin, et rassure toi, je confirme que son rouge vif ne déteint pas !!).
Et heureusement qu'il fait chaud, à Paris, que nous n'ayons pas à remettre les radiateurs... car....
... petite facture EDF dans la boite, un billet doux de 666 Euros à payer.
666, le chiffre de la Bête ?
Steph et moi aurions donc consommé, en deux mois, pour 666 Euros de courant.... ?!!!???
Boudïou, mais c'est Atomic Couple, nous deux, ma parole. Plus de 10 Euros de jus par jour pour deux adultes (plus le chat)... L'enquête est ouverte, et que le coupable se dénonce avant que ma mortelle vengeance ne s'abatte sur lui : quel est donc le voisin draculesque qui se branche sur mon compteur pour alimenter ses sabbats, bon sang de bois ?
Bonne nouvelle, malgré tout. Je n'ai pas regrossi. Ou plutôt, je suis toujours aussi maigrelette. Et ce en dépit des assauts des meilleures cuisines au monde que je connaisse depuis que ma grand-mère a quitté ce monde : la cuisine de ma mère, un cordon bleu, et la cuisine de ma Béa, l'amie de toujours.
Les pieds-paquets promis par Béa étaient au rendez-vous doncque. Cela faisait longtemps que je n'en avais pas mangé d'aussi goûteux et fins ! Les meilleurs, il y a longtemps, c'étaient ceux de ma mamie. Puis un grand vide laissé dans mon palais depuis... 1982... Maman cuisine bien, mais elle est plutôt alouettes-sans-tête que pieds-paquets...
Et puis, voilà Béa se pointe et me fait le coup de la Madeleine de Proust à la marseillaise. Un immense plat de pieds-paquets "à faire redescendre tous les saints du paradis" !!!!
La journée avait bien commencé à Marseille. Grand soleil, pour changer du printemps foireux dans le midi. Et gros bazar sur le port, avec des milliers de cyclistes roulant au pas (deux ou trois par terre, même au pas, faut le faire, bondisqui !!!). Le port oui, le Vieux Port, car pour aller chez Béa, on peut prendre le métro depuis le port. Et venant de chez moi, c'est plus simple (de chez moi, le Roucas, à Marseille, j'entends...). Ca suit là ??? Non, c'est-pas-grave !!!!!!!!
Et puis Béa, et toute la famille Béa : Monsieur Béa, en grande forme (la conjonction du tennis et du foot lui profite comme de la crème Nivéa sur les fesses d'un bébé). Les fils à Béa, deux play boys surdoués que certaines connaissent déjà, tout ou partie, les petites veinardes...
Et les pieds-paquets de Béa au sujet desquels je n'ose demander combien de temps elle a passé à mijoter de telles merveilles....
(entre parenthèses, Béa évoque sur son blog un week-end de repos en
perspective... je me demande donc ce qu'elle entend par un week-end où
elle prévoit de faire quelque chose !).
Et puis les talents au sujet desquels Béa reste modeste. Notamment ses boutis qu'elle réalise d'une main patiente et inspirée. Des merveilles que j'espère revoir très vite sur son blog... !
Gros orage en fin de journée, d'où la mention du parapluie rouge vif nécessaire pour affronter les trombes qui s'abattent sur la Bonne Mère.
Retour à la maison du Roucas, dans le noir. Mes parents ont trouvé moyen de ne pas arriver à remettre le disjoncteur après la foudre. Le doigt magique de Atomic Cath à 666 Euros la passe pouvait seul leur venir en aide. Chose faite.
Pieds agile et paquets pliés. Un coup de TGV et rebonjour Paris et les emmerdes.
Tant qu'il y a de la vie...
>>> SenSeï, le plus gros chat du mooonnnnnnndddde, le troisième fils à Béa, et ma pomme enchantée et repue...
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