Le 5 juin, c'était la Journée Mondiale de l'Environnement, initiée par l'ONU.
Certes, à l'instar de la Journée de la Femme, on peut se demander à quoi bon ces beaux effets d'annonces s'il n'y a rien de concret, en amélioration visible et pérenne ?
Plutôt que de me poser 36000 questions sur le "pourquoi" et le "comment", je me suis engagée depuis quelques mois auprès de l'Entreprise EcoAct et ai participé, sur le terrain, à une opération de réhabilitation des Berges de Seine, dans le Val d'Oise, ce mardi.
Une superbe journée de rencontres avec les salariés de General Electric (Money Bank, Facto et Real Estate), qui n'ont pas chômé : ramassage de détritus extravagants (en nature et en taille) et élagage, afin de permettre ensuite une réhabilitation et un aménagement des berges pour la faune et la flore endémique mais également une meilleure qualité de vie pour les riverains !
Personnellement, je me suis régalée entourée de gens enthousiastes, de-bonne-humeur-non-stop, efficaces et n'ayant pas peur de se mouiller le t-shirt et les pieds !
Pour certains, c'était un "baptème du feu du nettoyage de la belle nature".
Tous sont réellement engagés et soucieux de passer l'info, notamment auprès de leurs enfants. Nombreux sont ceux et celles qui déplorent que l'environnement n'ait toujours pas sa place dans les écoles de notre pays !
Leurs témoignages en ligne ICI.
Une telle ambiance régnait que les médias ne s'y sont pas trompé et ont donné à cette journée une abondante couverture, dont un 20h sur TF1 :)
EcoAct a rempli sa mission : faire coexister le monde des entreprises et le monde associatif (notamment dans le domaine de la réinsertion professionnelle des personnes en galère), et proposer des actions s'inscrivant dans la durée afin d'apporter des solutions, en profondeur, aux problèmes environnementaux et sociaux.
Par exemple, pour cette journée qui fait partie d'un programme sur deux ans, General Electric finance le programme dont EcoAct est le maître d'oeuvre. L'entreprise EcoAct reçoit et réparti les fonds auprès des associations sur le terrain.
Si les entreprises privées s'impliquent largement dans l'amélioration de l'environnement social et environnemental, cela ne peut aller que dans le bon sens, en permettant aux salariés de prendre conscience des problèmes et des solutions possibles et en étant exemplaires auprès de leurs différentes parties prenantes.
le personnel de GE Money Bank entourant Clara Gaymard, Présidente GE France
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